En passant rapidement hier soir, j’avais lu: “What is happyness?”!!
Lac Léman?. Et au milieu, c’est Hugo? Sinon, oui, que se passe-t-il? En fait pas grand chose de palpitant…;)
@Irène : L’inscription est :Rodo de Niederhausen statuaire et c’est une oeuvre(?) exhaltant la “combourgeoisie” si je me souviens bien. Tout ça a Genève.
Sinon, il semble que je sois passé à côté de mon but, mais au moins j’ai essayé !
Francis Leplay
sur 19 mars 2012 à 9h42
Une photo assez cabotine où, comme l’acteur emphatique tape du pied avant de parler pour attirer à lui l’attention des spectateurs, le photographe indique ici à l’oeil du spectateur ce qu’il doit regarder. Comme je suis assez cabot, j’aime bien. C’est ludique. Le peit plus, ce sont les branches des arbres devenues dessin.
@blagapart, non, tu n’es pas passé à côté de ton but! Si j’ai laissé un commentaire, c’est que j’aime tes recherches et suivre leurs évolutions, mais souvent, je m’exprime mal, les cases à commentaires m’inhibent! 😉
@Irène : je crois avoir compris ce que tu voulais dire ! Quels qu’ils soient, tes commentaires sont bienvenus.
@Francis : la prochaine fois, j’inclus un chien!
Merci à tous deux.
to be continued, moi aussi, j’aime bien les branches dessinées et le petit cœur dans l’arbre, mais aucune idée pour la suite de l’histoire.
Brigitte David
sur 20 mars 2012 à 7h45
Ce que je préferre c’est le griffonnage qui se mêle à la griffe des arbres. Et la signalisation du “love” pointé sur la nana quand le mec regarde ailleurs.
alain-michel boley
sur 20 mars 2012 à 13h54
Une photographie doit trouver son équilibre entre suggestion et description. Cette sorte de “story-board” est pour le moins déconcertant dans la mesure où la maxime de Doisneau y est prise à contre-pied…
Le suggéré y est décrit, et même souligné !
Bref… Les combourgeois, c’est comme les compagnons, plus ça devient vieux, plus ça devient maître ?
😉
En passant rapidement hier soir, j’avais lu: “What is happyness?”!!
Lac Léman?. Et au milieu, c’est Hugo? Sinon, oui, que se passe-t-il? En fait pas grand chose de palpitant…;)
@Irène : L’inscription est :Rodo de Niederhausen statuaire et c’est une oeuvre(?) exhaltant la “combourgeoisie” si je me souviens bien. Tout ça a Genève.
Sinon, il semble que je sois passé à côté de mon but, mais au moins j’ai essayé !
Une photo assez cabotine où, comme l’acteur emphatique tape du pied avant de parler pour attirer à lui l’attention des spectateurs, le photographe indique ici à l’oeil du spectateur ce qu’il doit regarder. Comme je suis assez cabot, j’aime bien. C’est ludique. Le peit plus, ce sont les branches des arbres devenues dessin.
@blagapart, non, tu n’es pas passé à côté de ton but! Si j’ai laissé un commentaire, c’est que j’aime tes recherches et suivre leurs évolutions, mais souvent, je m’exprime mal, les cases à commentaires m’inhibent! 😉
@Irène : je crois avoir compris ce que tu voulais dire ! Quels qu’ils soient, tes commentaires sont bienvenus.
@Francis : la prochaine fois, j’inclus un chien!
Merci à tous deux.
to be continued, moi aussi, j’aime bien les branches dessinées et le petit cœur dans l’arbre, mais aucune idée pour la suite de l’histoire.
Ce que je préferre c’est le griffonnage qui se mêle à la griffe des arbres. Et la signalisation du “love” pointé sur la nana quand le mec regarde ailleurs.
Une photographie doit trouver son équilibre entre suggestion et description. Cette sorte de “story-board” est pour le moins déconcertant dans la mesure où la maxime de Doisneau y est prise à contre-pied…
Le suggéré y est décrit, et même souligné !
Bref… Les combourgeois, c’est comme les compagnons, plus ça devient vieux, plus ça devient maître ?
😉