12 Commentaires
  1. Attirance pour cette image presque abstraite, répulsion pour le réalisme de la scène…

  2. J’adore… Irène et ses safaris d’araignées – des insectes qui font leur toile – ou de mouches, ses virées en eaux troubles, dormantes et poissonneuses- où elle figure en pâle Ophélia. L’imaginaire a encore de belles heures…
    D’un point de vue pictural , le corps massif des mouches, ce fouillis de pattes, se mêlant à la transparence des élytres composent une sorte d’aquarelle où se décline toute la gamme des gris. Cette transposition, cette sublimation d’une probable scène de carnage tient franchement la répulsion à distance. L’objet de la peinture c’est la peinture, non ?
    Bravo!

  3. Beau tableau abstrait ( dont il vaut mieux ne garder que l’abstraction: brrrrrr!!!)

  4. J’aime beaucoup la photo, quant au thème, il ne me semble pas très abstrait, un genre de lutte plutôt. Je dois dire que je suis assez phobique des insectes !

  5. Irène, j’aime beaucoup vos portraits. Et j’attends avec impatience le prochain (Commentaire hors sujet…), F

  6. Je ne suis pas sûr qu’il s’agisse de toiles d’araignées :

    “Celui qu’y touche
    Papier tue-mouches
    Est moitié fou” 👿

    Paroles Serge Gainsbourg

    “Laissez parler
    Les p’tits papiers
    A l’occasion
    Papier chiffon
    Puissent-ils un soir
    Papier buvard
    Vous consoler

    Laisser brûler
    Les p’tits papiers
    Papier de riz
    Ou d’Arménie
    Qu’un soir ils puissent
    Papier maïs
    Vous réchauffer

    Un peu d’amour
    Papier velours
    Et d’esthétique
    Papier musique
    C’est du chagrin
    Papier dessin
    Avant longtemps

    Laissez glisser
    Papier glacé
    Les sentiments
    Papier collant
    Ça impressionne
    Papier carbone
    Mais c’est du vent

    Machin Machine
    Papier machine
    Faut pas s’leurrer
    Papier doré
    Celui qu’y touche
    Papier tue-mouches
    Est moitié fou

    C’est pas brillant
    Papier d’argent
    C’est pas donné
    Papier-monnaie
    Ou l’on en meurt
    Papier à fleurs
    Ou l’on s’en fout

    Laissez parler
    Les p’tits papiers
    A l’occasion
    Papier chiffon
    Puissent-ils un soir
    Papier buvard
    Vous consoler

    Laisser brûler
    Les p’tits papiers
    Papier de riz
    Ou d’Arménie
    Qu’un soir ils puissent
    Papier maïs
    Vous réchauffer”

  7. @Jean-Marc Silvestre. Effectivement j’ai d’abord vu des araignées – persistance rétinienne- Par rapport à la réflexion de Flore à quand le prochain portrait?…
    Interrogeons irène? Ceci n’est -il pas un portrait? Voire…

  8. Eh non, il ne s’agit pas du papier tue-mouches, d’ailleurs, si vous regardez bien, il n’y a pas de mouches, encore moins d’araignées!
    A chacun d’y voir ce qu’il veut, bien que je dois avouer être un peu étonnée de lire que cette image semble abstraite à certains! Il y est question de lutte comme l’a relevé Brigitte! Mais je n’en dirai pas plus…
    Des portraits, j’en fais peu, c’est rare de rencontrer quelqu’un avec une “gueule” et en plus consentant…
    Merci beaucoup à tous pour votre intérêt.

  9. Je corrige, “il y est question de lutte” comme l’a relevé Annierita! Et non pas Brigitte qui, elle, parlait de carnage!
    Désolée de cette confusion, mais je suis un peu fatiguée…

  10. La beauté des champs de bataille !

  11. Ouaip, il y a du grabuge et de la tension de partout dans cette image. Ca vrombit et ça se bat, un beau ballet mortuaire et anarchique.
    J’aime beaucoup.

  12. Oui, bataille, tension, grabuge, mort, la vie quoi!
    Merci de votre passage, blagapart et cormac!

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