Très belle image, j’en ai une un peu différente, mais similaire, je vais attendre un peu, car je publie déjà trop !
Brigitte David
sur 24 octobre 2011 à 21h53
Cette indéfinition, ce fondu des éléments, créent l’illusion du mouvement. Impression de percevoir le souffle qui façonne le paysage. La courbe de la terre, l’ombre inquiétante de la montagne , la vallée comme une cuvette de brume… Elle est très belle votre photo.
Brigitte David
sur 24 octobre 2011 à 23h03
Perte de repères manifeste entre les éléments, dans cette vallée de brume,cette impression grandiose de mouvement, matérialisation du souffle qui balaie les flancs de la montagne. Beau jeu de courbes , concaves et convexes où l’effilochement des nuages ressemble à des traits de pinceau. J’aime beaucoup.
Brigitte David
sur 24 octobre 2011 à 23h13
beau mouvement des nuages où se perdent tous les repères, dans un jeu de coubes intense où se diputent ombre et lumière. j’aime beaucoup.
Lignes pures, beau dégradés de gris doux, avec cette échappée de lumière dans le creux, une impression à la fois d’espace et d’étouffement dû au ciel bas, j’aime beaucoup.
brigitte david
sur 25 octobre 2011 à 8h47
Je signale une incapacité à faire paraître depuis hier mes commentaires.
J’insiste donc pour dire que j’aime ce jeu de courbes qui se disputent l’ombre et la lumière et ce mouvement très pictural des nuages qui contribue à la perte de repères.
brigitte david
sur 25 octobre 2011 à 8h47
ouf ça marche aujourd’hui….
Francis Leplay
sur 25 octobre 2011 à 11h50
Très étonnante cette montagne qui se prend pour une déferlante. Et la gamme chromatique, de la marée noire au gris velours, joue une large palette des sentiments, entre tristesse et oppression, dynamisme aussi.
Bernard Lvq
sur 25 octobre 2011 à 12h25
J’aurais envie de me projeter au creux de la montagne, suivre le lit de la rivière, mais j’en suis empêché par cette énorme masse exagérément sombre, comme un membre de pieuvre 😉
Belle ambiance donnée par cette photographie, mais je suis aussi gêné par cette langue très sombre (sans doute exagérée au “tirage” ?).
Ce n’est quand même pas pour évoquer les lendemains de la consommation du liquide ambré fabriqué à l’aide de la source précitée ? 😉
Une superbe illustration pour “Une descente dans le maelstrom” d’Edgar Allan Poe.
“Combien de fois fîmes-nous le tour de cette ceinture, il m’est impossible de le dire. Nous courûmes tout autour, pendant une heure à peu près ; nous volions plutôt que nous ne flottions, et nous nous rapprochions toujours de plus en plus du centre du tourbillon, et toujours plus près, toujours plus près de son épouvantable arête intérieure.”
Le texte entier peut se lire ici: http://fr.wikisource.org/wiki/Une_descente_dans_le_maelstrom
alain-michel boley
sur 25 octobre 2011 à 17h50
L’idée de vague dans la partie supérieure est très forte. J’ai eu moi aussi cette sensation de “déferlante” avancée par Francis Leplay, cette brume dont le mouvement se fondait avec les reliefs des pierriers et éboulis.
Que faire pour éclaircir cette “langue” ?
😉
@GBertrand: Merci pour le texte de Poe que je connaissais pas et qui est très fort.
C’est vrai que pour le coup l’idée du maëlstrom n’est plus trop présente et je dois dire que mon goût perso va plutôt à l’ancienne version, même si cet éclaircissement n’est pas pour me déplaire.
bernard Lvq
sur 25 octobre 2011 à 22h48
Oui, c’est mieux pour moi dans la partie sombre, mais l’on a perdu bizarrement (effet visuel de contraste entre les zones ?) ses “points forts” lumineux qui guidaient, orientaient, notre regard vers un axe
alain-michel boley
sur 26 octobre 2011 à 17h42
La sensation de “déferlante” s’est estompée dans cette seconde version, ce qui est logique avec la diminution du contraste et le regain de précision. Voilà bien la démonstration de deux proverbes : On ne peut pas avoir le beurre et…;
La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a !
😉
brigitte david
sur 26 octobre 2011 à 20h46
So sorry pour un bug sur le blog qui m’a entraîné dans un entêtement répétitif délétère… mes excuses à tous!
Très belle image, j’en ai une un peu différente, mais similaire, je vais attendre un peu, car je publie déjà trop !
Cette indéfinition, ce fondu des éléments, créent l’illusion du mouvement. Impression de percevoir le souffle qui façonne le paysage. La courbe de la terre, l’ombre inquiétante de la montagne , la vallée comme une cuvette de brume… Elle est très belle votre photo.
Perte de repères manifeste entre les éléments, dans cette vallée de brume,cette impression grandiose de mouvement, matérialisation du souffle qui balaie les flancs de la montagne. Beau jeu de courbes , concaves et convexes où l’effilochement des nuages ressemble à des traits de pinceau. J’aime beaucoup.
beau mouvement des nuages où se perdent tous les repères, dans un jeu de coubes intense où se diputent ombre et lumière. j’aime beaucoup.
Lignes pures, beau dégradés de gris doux, avec cette échappée de lumière dans le creux, une impression à la fois d’espace et d’étouffement dû au ciel bas, j’aime beaucoup.
Je signale une incapacité à faire paraître depuis hier mes commentaires.
J’insiste donc pour dire que j’aime ce jeu de courbes qui se disputent l’ombre et la lumière et ce mouvement très pictural des nuages qui contribue à la perte de repères.
ouf ça marche aujourd’hui….
Très étonnante cette montagne qui se prend pour une déferlante. Et la gamme chromatique, de la marée noire au gris velours, joue une large palette des sentiments, entre tristesse et oppression, dynamisme aussi.
J’aurais envie de me projeter au creux de la montagne, suivre le lit de la rivière, mais j’en suis empêché par cette énorme masse exagérément sombre, comme un membre de pieuvre 😉
Belle ambiance donnée par cette photographie, mais je suis aussi gêné par cette langue très sombre (sans doute exagérée au “tirage” ?).
Ce n’est quand même pas pour évoquer les lendemains de la consommation du liquide ambré fabriqué à l’aide de la source précitée ? 😉
Une superbe illustration pour “Une descente dans le maelstrom” d’Edgar Allan Poe.
“Combien de fois fîmes-nous le tour de cette ceinture, il m’est impossible de le dire. Nous courûmes tout autour, pendant une heure à peu près ; nous volions plutôt que nous ne flottions, et nous nous rapprochions toujours de plus en plus du centre du tourbillon, et toujours plus près, toujours plus près de son épouvantable arête intérieure.”
Le texte entier peut se lire ici:
http://fr.wikisource.org/wiki/Une_descente_dans_le_maelstrom
L’idée de vague dans la partie supérieure est très forte. J’ai eu moi aussi cette sensation de “déferlante” avancée par Francis Leplay, cette brume dont le mouvement se fondait avec les reliefs des pierriers et éboulis.
Que faire pour éclaircir cette “langue” ?
😉
Merci à tous pour vos commentaires et à la demande générale j’ai tenté un nouveau traitement ou j’ai éclairci la tentacule 😉
Superbe !
Oui ce nouveau traitement est vraiment mieux ,et du coup, vraiment envie de la parcourir plus en détail 😉
Oui, très bien.
Mais moi mon maelström, il est tombé à l’eau !
@GBertrand: Merci pour le texte de Poe que je connaissais pas et qui est très fort.
C’est vrai que pour le coup l’idée du maëlstrom n’est plus trop présente et je dois dire que mon goût perso va plutôt à l’ancienne version, même si cet éclaircissement n’est pas pour me déplaire.
Oui, c’est mieux pour moi dans la partie sombre, mais l’on a perdu bizarrement (effet visuel de contraste entre les zones ?) ses “points forts” lumineux qui guidaient, orientaient, notre regard vers un axe
La sensation de “déferlante” s’est estompée dans cette seconde version, ce qui est logique avec la diminution du contraste et le regain de précision. Voilà bien la démonstration de deux proverbes : On ne peut pas avoir le beurre et…;
La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a !
😉
So sorry pour un bug sur le blog qui m’a entraîné dans un entêtement répétitif délétère… mes excuses à tous!