rvmarec sur 16 octobre 2011 à 23h21 J’aime beaucoup ce point de vue, avec un enroulement du chemin conduisant jusqu’aux personnages au fond. Le contraste me paraît un peu trop soutenu, mais c’est une simple question de goût.
Josée sur 16 octobre 2011 à 23h53 D’accord pour la composition, l’utilisation du grand angle pour rendre la scène et le ton du virage. Je suis moins séduite par la densité prononcée dans les basses lumières ainsi que par la part importante de flou à l’avant-plan. J’aurais tenté un recadrage carré pour limiter cette zone floue…
Bernard LVQ sur 17 octobre 2011 à 23h06 A l’inverse de Josée je ne couperais pas le bas pour un carré, car cette matière, cette perspective fait la photo… donc j’élargirais sur les côtés car je trouve que cette photo, cette via, est très intéressante mais étouffée.
Matoufilou sur 30 décembre 2011 à 17h45 Cette photo à la fois m’étouffe et me libère. J’en suis acteur autant que spectateur. Il ne s’agit plus de clarifier ma vision du monde mais de briser la mer gelée en moi, pour reprendre la belle formule de Kafka. La hache photographique devient un vecteur particulier de mon être-au-monde, à l’image de la littérature ou du cinéma. Cloué dans mon fauteuil, je suis devant une telle image comme le papillon de neige de Joë Bousquet, pris par la puissance de l’exil.
J’aime beaucoup ce point de vue, avec un enroulement du chemin conduisant jusqu’aux personnages au fond. Le contraste me paraît un peu trop soutenu, mais c’est une simple question de goût.
D’accord pour la composition, l’utilisation du grand angle pour rendre la scène et le ton du virage. Je suis moins séduite par la densité prononcée dans les basses lumières ainsi que par la part importante de flou à l’avant-plan. J’aurais tenté un recadrage carré pour limiter cette zone floue…
A l’inverse de Josée je ne couperais pas le bas pour un carré, car cette matière, cette perspective fait la photo… donc j’élargirais sur les côtés car je trouve que cette photo, cette via, est très intéressante mais étouffée.
Cette photo à la fois m’étouffe et me libère. J’en suis acteur autant que spectateur.
Il ne s’agit plus de clarifier ma vision du monde mais de briser la mer gelée en moi, pour reprendre la belle formule de Kafka.
La hache photographique devient un vecteur particulier de mon être-au-monde, à l’image de la littérature ou du cinéma.
Cloué dans mon fauteuil, je suis devant une telle image comme le papillon de neige de Joë Bousquet, pris par la puissance de l’exil.