version couleur :une rose dans les ténèbres




blagapart

longue histoire...
11 Commentaires
  1. like like like!!!Quel étrange paysage que l’on pourrait presque situer dans la dimension Bilal…mais on est donc NIKOPOL?
    Blagapart vraiment sublime 😉

  2. Très impressionnant. Bien sûr je ne comprends pas. Ce qui ne m’empêche pas d’imaginer. Bien au contraire. Ces chemins du paradis ressemblent à un exode.

  3. vraiment superbe , entre photo aquarelle et encre , je ne sais pas pourquoi mais j’ai pensé de suite à une aquarelle de Bernard Buffet.

  4. Avec un soupçon de Balthus et un zeste de Munch mais transfigurés puisque, évidemment, tout ce beau monde est en marche vers le Paradis !
    😉

  5. On s’échine à trouver des références, mais c’est du Blagapart tout simplement: éclairage, composition et…mystère. Et c’est superbe.

  6. Etrange composition mais très belle réussite.
    Au diable les références

  7. Quelque chose me dérange, je n’arrive pas à déceler quoi exactement.
    Peut-être le méli-mélo d’éléments traités différemment, un montage bizarre qui ne me semble pas abouti…
    Cette image m’oppresse, manque d’espace, c’est peut-être être ça!

    Je n’y vois vraiment pas du Balthus, encore moins du Bernard Buffet! 😉

  8. Merci à tous pour vos commentaires (sauf que je déteste grave B. Buffet…).
    @Irène : l’image est faite pour oppresser. Le montage est un peu brut de décoffrage, mais si les raccords avaient été soignés, je ne crois pas que l’impact serait le m^me. En fait je n’en sais rien puisque je n’ai pas eu le courage d’essayer (mais ç’aurait été une image d’un sens différent, je crois).

  9. Blagapart, c’est vrai que tu a réussi à faire passer l’oppression , il est vrai aussi que, traitée plus soigneusement, ce ne serait plus pareil!
    Quant à Bernard Buffet, je partage ta détestation! 😉

    @Henri, te voilà prévenu! ;))

  10. …sont pavés se mauvaises intentions ?

  11. Superbe. Pour moi, c’est pas du brut de fonderie.

    En plus, porteuse d’un message symbolique: il faut passer par nos enfers pour aller au paradis. Une forteresse derrière, lorsqu’on est prêt à quitter cette forteresse, on passe sur un pont où l’on vit l’épouvante. Et pourtant, nous dit le titre, c’est le chemin vers le paradis. Pour moi, le message est fort, et vrai. Et plus rendu par une photo de maître qui porte ce message

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