Francis Leplay sur 11 juin 2011 à 18h28 Ces silhouettes reliées entre-elles comme des figurines découpées au ciseau dans un bloc de papier, cette terre accidentée où l’on butte sur des mottes les pieds en déséquilibre, et ce ciel qui pour être plus clair n’en est pas d’espoir, éclairant la scène en contrebande: que c’est beau.
tinange sur 11 juin 2011 à 18h28 Fabuleuse… Mais avec toi ça devient une habitude ;- ) J’aime particulièrement les herbes au sol qui dansent dans la même direction que ton personnage central. Et ce ciel, dense lui aussi, sans être plombé. et enfin le bandeau de terre et son passage au noir comme le plancher d’une scène. Bravo.
alain-michel boley sur 11 juin 2011 à 19h57 La même lumière de Cadaquès, avec les ombres dansantes. ;o)
Irène de Groot sur 11 juin 2011 à 21h26 J’aurais sincèrement aimé avoir l’enthousiasme exprimés dans les commentaires précédents, mais j’ai quelques réserves, la bande “terre” me semble trop importante. Il y a surtout la perspective qui donne à cette jambe levée l’impression d’un moignon, fort dérangeante à mes yeux…
Brigitte David sur 11 juin 2011 à 23h21 j’aime beaucoup cette danse avant l’orage, même si c’est la précipitation pour se mettre à l’abri quand l’orage éclate… J’avais pensé danse avant de voir le titre , tant le mouvement est évident. Un moignon c’est évidemment dérangeant , Irène , mais si c’était le cas? la photo perdrait -elle de son intérêt et de son sens?
Bernard LVQ sur 11 juin 2011 à 23h50 Cette photo m’a fait penser immédiatement à ton “Entre ciel et terre”, une sensation de juste équilibre entre deux états, terrien / aérien. J’aime la finesse et subtilité des herbes qui poétisent la scène. Ensuite, je rejoindrais Irène dans cette gêne que me pose l’épaisseur de cette bande de terre, et dans le mouvement très “bancale” de cette jambe.
cormac sur 12 juin 2011 à 9h40 Merci à tout le monde pour les commentaires!!! @ Irène et un peu à Bernard, pour la bande de terre, d’accord, je peux comprendre que ça dérange (même si perso je n’en toucherais pas un mm), mais pour le reste: mais il est où ce moignon???, je vois deux silhouettes qui ont chacune deux jambes et un bras, est ce l’absence du deuxième bras qui gênent?? Ou est ce la position de la jambe de la plus grande des danseuses. Et là je n’y vois pas de moignon, mais une jambe disloquée, pris en plein mouvement. Position il est vrai un peu bizarre mais qui pour moi fait tout le sel de ce moment suspendu. C’est pas très grave hein, 🙂 , en tout merci encore pour votre interêt.
Bernard LVQ sur 12 juin 2011 à 10h42 Pour moi en effet, et mon com s’est fait après réflexion sur ce point en particulier, sans mouvement de cette jambe ou des personnages, la photo devient assez plate… donc ma gêne est bien justement sur le moment choisi (disloqué) pour déclencher. Aller, on passe à autre chose 😉
Irène de Groot sur 12 juin 2011 à 20h11 Au bout de cette jambe “disloquée”, il n’y a pas de pied! C’est là que réside le fait que cette photo n’est pas ce qu’elle aurait pu être, pour répondre à Brigitte, le moment du déclic est crucial en l’occurrence, ça change tout! Bien évidemment, ce n’est pas très grave, cormac! Mais, quand même étonnant que tu ne vois pas ce moignon…
blagapart sur 12 juin 2011 à 23h04 Entre la femme sans pied et l’enfant statique, je ne vois pas vraiment de danse. Le moment pris ne distingue pas de silhouette qui m’intéresse, la bande noire intensifie l’effet de silhouette, mais voir plus haut. Le tout avec un ciel dramatisé dont je ne vois pas la cohérence avec le reste. Bref, je ne trouve pas que c’est une bonne photo. Signé : Schtroumpf grognon.
brigitte david sur 12 juin 2011 à 23h09 Et le fait, grognon , que ça se passe au Mont Aigoual ne vous interpelle pas?
blagapart sur 13 juin 2011 à 11h43 @brigitte: c’est tout plat, ça pourrait être pris dans la plaine de Namur…
cormac sur 13 juin 2011 à 19h40 Hé bé grognon m’a rhabillé pour l’hiver… 🙂 Sinon pour être un peu sérieux, je suis désolé mais vraiment ce moignon (je veux bien admettre que le pied n’apparaît pas entièrement) ne me dérange absolument pas, et pour ce qui est du ciel dramatisé, il est en fait très peu accentué, une petite lichette de niveaux de gris et quelques éclaircissements rien de plus. Quand à la cohérence, j’ai benoitement cru que faire danser ce ciel, je ne suis qd même pas le seul à voir les lignes de force qui tombe presque sur les danseuses, irait bien avec le mouvement au sol. Une sorte de miroir entre la terre et le ciel, comme l’a remarqué Bernard. p.s: Ca à l’air beau Namur
Ces silhouettes reliées entre-elles comme des figurines découpées au ciseau dans un bloc de papier, cette terre accidentée où l’on butte sur des mottes les pieds en déséquilibre, et ce ciel qui pour être plus clair n’en est pas d’espoir, éclairant la scène en contrebande: que c’est beau.
Fabuleuse… Mais avec toi ça devient une habitude ;- )
J’aime particulièrement les herbes au sol qui dansent dans la même direction que ton personnage central. Et ce ciel, dense lui aussi, sans être plombé.
et enfin le bandeau de terre et son passage au noir comme le plancher d’une scène.
Bravo.
Idem Tinange …
La même lumière de Cadaquès, avec les ombres dansantes.
;o)
J’aurais sincèrement aimé avoir l’enthousiasme exprimés dans les commentaires précédents, mais j’ai quelques réserves, la bande “terre” me semble trop importante. Il y a surtout la perspective qui donne à cette jambe levée l’impression d’un moignon, fort dérangeante à mes yeux…
j’aime beaucoup cette danse avant l’orage, même si c’est la précipitation pour se mettre à l’abri quand l’orage éclate… J’avais pensé danse avant de voir le titre , tant le mouvement est évident. Un moignon c’est évidemment dérangeant , Irène , mais si c’était le cas? la photo perdrait -elle de son intérêt et de son sens?
Cette photo m’a fait penser immédiatement à ton “Entre ciel et terre”, une sensation de juste équilibre entre deux états, terrien / aérien.
J’aime la finesse et subtilité des herbes qui poétisent la scène.
Ensuite, je rejoindrais Irène dans cette gêne que me pose l’épaisseur de cette bande de terre, et dans le mouvement très “bancale” de cette jambe.
Merci à tout le monde pour les commentaires!!!
@ Irène et un peu à Bernard, pour la bande de terre, d’accord, je peux comprendre que ça dérange (même si perso je n’en toucherais pas un mm), mais pour le reste: mais il est où ce moignon???, je vois deux silhouettes qui ont chacune deux jambes et un bras, est ce l’absence du deuxième bras qui gênent?? Ou est ce la position de la jambe de la plus grande des danseuses. Et là je n’y vois pas de moignon, mais une jambe disloquée, pris en plein mouvement. Position il est vrai un peu bizarre mais qui pour moi fait tout le sel de ce moment suspendu.
C’est pas très grave hein, 🙂 , en tout merci encore pour votre interêt.
Pour moi en effet, et mon com s’est fait après réflexion sur ce point en particulier, sans mouvement de cette jambe ou des personnages, la photo devient assez plate… donc ma gêne est bien justement sur le moment choisi (disloqué) pour déclencher.
Aller, on passe à autre chose 😉
Au bout de cette jambe “disloquée”, il n’y a pas de pied!
C’est là que réside le fait que cette photo n’est pas ce qu’elle aurait pu être, pour répondre à Brigitte, le moment du déclic est crucial en l’occurrence, ça change tout!
Bien évidemment, ce n’est pas très grave, cormac! Mais, quand même étonnant que tu ne vois pas ce moignon…
Entre la femme sans pied et l’enfant statique, je ne vois pas vraiment de danse. Le moment pris ne distingue pas de silhouette qui m’intéresse, la bande noire intensifie l’effet de silhouette, mais voir plus haut. Le tout avec un ciel dramatisé dont je ne vois pas la cohérence avec le reste. Bref, je ne trouve pas que c’est une bonne photo.
Signé : Schtroumpf grognon.
Et le fait, grognon , que ça se passe au Mont Aigoual ne vous interpelle pas?
@brigitte: c’est tout plat, ça pourrait être pris dans la plaine de Namur…
Bien vu…
Hé bé grognon m’a rhabillé pour l’hiver… 🙂
Sinon pour être un peu sérieux, je suis désolé mais vraiment ce moignon (je veux bien admettre que le pied n’apparaît pas entièrement) ne me dérange absolument pas, et pour ce qui est du ciel dramatisé, il est en fait très peu accentué, une petite lichette de niveaux de gris et quelques éclaircissements rien de plus. Quand à la cohérence, j’ai benoitement cru que faire danser ce ciel, je ne suis qd même pas le seul à voir les lignes de force qui tombe presque sur les danseuses, irait bien avec le mouvement au sol. Une sorte de miroir entre la terre et le ciel, comme l’a remarqué Bernard.
p.s: Ca à l’air beau Namur