…ou mieux affaire de Jacques (Coeur)




GBertrand

Susan Sontag : "Une photographie passe pour une preuve irrécusable qu'un événement donné s'est bien produit."
9 Commentaires
  1. À Bourges…
    L’Hôtel Jacques CÅ“ur, combien d’étoiles 😉

  2. Bravo pour la perspicacité, car “trafiquée” ainsi, bien peu reconnaissent la façade et ses sculptures.
    Mais cela a-t-il de l’importance ?

  3. L’effet au premier abord est saisissant en tous cas.
    Maintenant que ce soit un montage n’est absolument pas important, en plus il est parfaitement réalisé.

    Mais comme me l’avait fait remarquer Irène pour mon montage (et là j’ai ce recul nécessaire) il aurait été intéressant peut-être de trouver des visages différents car je voudrais me raconter une histoire mais elle s’arrête “devant” le montage

  4. Oui, sans doute.
    Mais le challenge était, pour moi, de jouer plutôt avec les deux images de bustes (celles de la façade du Palais, bien sûr) et de recomposer ou décomposer une histoire de couple. BD de pierre.
    “A celui qui regarde de se raconter l’histoire”, c’était pourtant l’idée. Ou pas.

  5. Le singe n’a pas l’air d’accord avec la composition…
    Il veut un autre story-board ?
    ;o)

  6. Monkey business, faut payer pour voir dans la chambre claire !

  7. @ GBertrand. “A celui qui regarde de se raconter l’histoire” …. Ce genre d’argument je l’entends de plus en plus souvent de la part de jeunes artistes, je ne l’ai jamais entendu de la part de Soulages, de Tinguely ou quelques autres “connus” que j’ai pu croiser et qui ont pu m’expliquer leurs démarches sans contorsions…. je pourrais développer une colonne entière là-dessus … c’est d’ailleurs aussi à cela que servent les visites avec conférenciers dans les musées.

    Maintenant pour contourner le miroir que tu voudrais mettre face à moi, puisque je n’ai pas su “décoller” peux-tu me faire participer à l’histoire que tu tes raconté en faisant ce montage ? 😉

  8. Non, pas de miroir entre mes “images” et toi, Bernard. Que de prétention, j’aurais !
    Juste une proposition qu’on accepte ou pas. C’est tout.
    Devant Eraserhead de Lynch, “La semaine de bonté” d’Ernst ou, j’y étais hier, les constructions/compositions d’Odilon Redon, je me laisse “faire”. J’investis l’image. Je ne comprends pas les intentions de l’auteur ? Tant pis-tant mieux, j’accepte le mystère aussi.
    Quant à savoir que c’est l’argument de “jeunes artistes”, d’abord je crois que depuis Duchamp (qu’ils copient presque tous) et les surréalistes c’est une vieille lune que je revendique aussi. Ensuite, je ne suis ni “jeune” (je suis même très vieux, en vérité) et être titré “artiste”, je le refuse: ceux qui font de l’art, sont si rares !
    Je fais paraître en même temps une info sur une artiste (elle oui) que j’ai découverte par hasard samedi. Des “images” très étranges, mais si belles. Elle s’appelle Sabrina Biancuzzi.

  9. … j’ai vu … superbe !

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *