Jean-Marc Silvestre sur 12 avril 2011 à 22h42 Sont-ce les terrasses de Lavaux ? vers Grandvaux ou Vilette ? Belle image…
blagapart sur 12 avril 2011 à 22h45 On retrouve la même ambiance que dans le rideau d’arbres vu précédemment. Les danseurs du premiers plan sont impressionnants. Le contraste est Giacomelliesque (?). Je suis frappé, mais pas tout à fait KO… L’impression que ça penche à gauche Un certain statisme ? Quelque chose me gêne (un peu).
Brigitte David sur 13 avril 2011 à 18h02 La résille du premier plan me suffisait, avec un cadrage très allongé. Très picturale.
cormac sur 14 avril 2011 à 18h31 Très belle image, à la fois apaisé, endormi mais plein d’une violence qui ne demande qu’à s’exprimer. Giacomelliesque, d’accord avec blagapart.
Jean-Marc Silvestre sur 16 avril 2011 à 13h19 @ Brigitte David : Les photographes féminines ne sont intéressées que par les bas résilles 😉
Brigitte David sur 28 avril 2011 à 21h59 @ Jean-Marc Silvestre… Les photographes masculins ont un registre fantasmatique assez codifié, répétitif, attendu. Je devrais dire, pour répondre à la même hauteur. “Les photographes masculins (“Dans masculin, disait Godard, il y a masque et il y a cul…”) n’ont qu’un registre fantasmatique codifié, répétitif, attendu… ” En l’occurrence je pensais plutôt à la peinture… Celle de Georges Adilon ou de Michaux… parfois des correspondances…
Sont-ce les terrasses de Lavaux ? vers Grandvaux ou Vilette ?
Belle image…
On retrouve la même ambiance que dans le rideau d’arbres vu précédemment. Les danseurs du premiers plan sont impressionnants. Le contraste est Giacomelliesque (?). Je suis frappé, mais pas tout à fait KO… L’impression que ça penche à gauche Un certain statisme ? Quelque chose me gêne (un peu).
premier sans “s”….tsss
La résille du premier plan me suffisait, avec un cadrage très allongé. Très picturale.
Très belle image, à la fois apaisé, endormi mais plein d’une violence qui ne demande qu’à s’exprimer.
Giacomelliesque, d’accord avec blagapart.
@ Brigitte David : Les photographes féminines ne sont intéressées que par les bas résilles 😉
Belle vue, bien contrastée
@ Jean-Marc Silvestre… Les photographes masculins ont un registre fantasmatique assez codifié, répétitif, attendu. Je devrais dire, pour répondre à la même hauteur. “Les photographes masculins (“Dans masculin, disait Godard, il y a masque et il y a cul…”) n’ont qu’un registre fantasmatique codifié, répétitif, attendu… ”
En l’occurrence je pensais plutôt à la peinture… Celle de Georges Adilon ou de Michaux… parfois des correspondances…