alain-michel boley sur 29 mars 2011 Ã 20h43 Tant que les cygnes passent au milieu des folies, ouvrons les murs !
Henri sur 29 mars 2011 à 22h24 Et oui Irène la loi de l’impermanence… J’aime l’impression qui se dégage d’être dans le passé,mais en regardant vers un futur plus lumineux .Même ce beau cygne a l’air de partir vers des jours meilleurs, du moins on l’espère . “”Vous ne pouvez jamais descendre deux fois dans la même rivière, car de nouvelles eaux s’écoulent toujours sur vous.””
Brigitte David sur 30 mars 2011 à 23h41 L’indifférence majestueuse du cygne aux effets du temps qui passe. Non, ce n’est pas ça. Il y a de la rage quelque part devant la destruction inexorable du lieu et l’indifférence du cygne.
Bernard LVQ sur 31 mars 2011 à 0h45 L’eau … et bien sûr le temps … qui glisse, sans l’atteindre, le perturber, sur les plumes du cygne. J’y vais d’une remarque “radicale” et un peu extrême … en coupant la fenêtre de gauche, ton regard est de suite recentré sur le cygne et le regard l’englobe dans ce décor délabré présent mais devenu de ce fait “flou” … je ne sais pas si je suis clair 😉
Irène de Groot sur 31 mars 2011 à 11h06 Merci pour votre intérêt et interprétations! Cette prise était très difficile dans cette folie étroite, manque de recul, hâte pour capter le cygne au bon moment… Le titre m’est venu après, une suite à ma série éponyme… Je n’ai pas perçu ce que vous y avez lu, mais finalement me plaît assez! @ Bernard, Sucrer la fenêtre de gauche, non, je n’en vois pas trop l’intérêt.. A mon sens, il n’y aurait plus d’équilibre.
Tant que les cygnes passent au milieu des folies, ouvrons les murs !
Et oui Irène la loi de l’impermanence…
J’aime l’impression qui se dégage d’être dans le passé,mais en regardant vers un futur plus lumineux .Même ce beau cygne a l’air de partir vers des jours meilleurs, du moins on l’espère .
“”Vous ne pouvez jamais descendre deux fois dans la même rivière, car de nouvelles eaux s’écoulent toujours sur vous.””
L’indifférence majestueuse du cygne aux effets du temps qui passe. Non, ce n’est pas ça. Il y a de la rage quelque part devant la destruction inexorable du lieu et l’indifférence du cygne.
L’eau … et bien sûr le temps … qui glisse, sans l’atteindre, le perturber, sur les plumes du cygne.
J’y vais d’une remarque “radicale” et un peu extrême … en coupant la fenêtre de gauche, ton regard est de suite recentré sur le cygne et le regard l’englobe dans ce décor délabré présent mais devenu de ce fait “flou” … je ne sais pas si je suis clair 😉
Merci pour votre intérêt et interprétations!
Cette prise était très difficile dans cette folie étroite, manque de recul, hâte pour capter le cygne au bon moment…
Le titre m’est venu après, une suite à ma série éponyme…
Je n’ai pas perçu ce que vous y avez lu, mais finalement me plaît assez!
@ Bernard,
Sucrer la fenêtre de gauche, non, je n’en vois pas trop l’intérêt..
A mon sens, il n’y aurait plus d’équilibre.
Très belle image…