Bernard L sur 7 décembre 2010 à 0h46 Etant obnubilé par les jeux de lumières je ne pouvais qu’être captif et séduit au premier regard. Totalement focalisé sur les jambes et pieds de cette femme, axe de la photo et de la discussion vers laquelle sont orientés tous les autres. Ironie de la lumière, ces pieds finement dessinés, chaussés d’une élégante paire d’escarpins, sont transformés dans l’ombre en pied-bots. Ensuite je suis un peu perdu car je ne trouve pas d’élément aussi fort pour lui répondre… je suis entrainé vers le bas par l’ombre en accroc et la chaise. Pour rendre plus de force à cette photo je couperais le bas juste au-dessus de la pointe de cette ombre en accroc (l’ombre du soulier de l’homme en fait). J’ai hâte d’entendre d’autres avis 😉
solong sur 7 décembre 2010 à 7h41 J’adore! ce regard Yvapien, en douceur comme de vair, immédiatement reconnu, bien avant de lire l’auteur. Cet humour en pied de nez, contenu dans l’image, bien avant de lire le titre. J’adore, bien au delà du graphisme, superbe, ce que contient l’image, ce qu’elle sait montrer et tout ce qu’elle suggère, ce superbe recul, ethno(podo)logique. Il y a quelque chose du rituel dans cette confrontation des gambettes en représentation avec cet arc de cercle (qu’il ne faut à mon avis surtout pas amputer Bernard!), la position convenue des ces chevilles en érection. Une photographie qu’à du cors (…). Je retrouve ici ce sourire au coin de l’oeil que j’aime tant percevoir quand j’écoute du Brassens. Ce regard qui sait glisser, tout en subtilité, sans haine, avec tendresse même, des cailloux dans les chaussures du conformisme… le pied quoi!… 😉
Bernard L sur 7 décembre 2010 à 20h01 Solong il y en a comme toi qui ont la capacité et l’aisance à exprimer les ressentis, bravo tu as su traduire ce que je percevais au-delà du graphisme. Pour ce qui est de ma coupe suggérée, il n’est pas question de casser l’arc de cercle, juste en occulter la partie qui détourne le regard de l’essentiel déjà décrit 😉
marie sur 7 décembre 2010 à 20h07 aucune aisance avec les mots j’en suis navrée…mais ici grand sourire .
Yvap sur 8 décembre 2010 à 8h51 Merci à vous trois. Bernard : ah non ! Si on coupe comme tu le proposes, la flaque de lumière est amputée, circoncise, par le bord de l’image, c’est bancal et casse sa dynamique de mouvement. Elle DOIT disparaître dans l’ombre qui ferme l’image. Elle DOIT être complète puisque c’est autour d’elle que tout s’organise, et j’ai fait très attention à la PDV que le cadrage l’englobe en entier.
Etant obnubilé par les jeux de lumières je ne pouvais qu’être captif et séduit au premier regard. Totalement focalisé sur les jambes et pieds de cette femme, axe de la photo et de la discussion vers laquelle sont orientés tous les autres.
Ironie de la lumière, ces pieds finement dessinés, chaussés d’une élégante paire d’escarpins, sont transformés dans l’ombre en pied-bots.
Ensuite je suis un peu perdu car je ne trouve pas d’élément aussi fort pour lui répondre… je suis entrainé vers le bas par l’ombre en accroc et la chaise.
Pour rendre plus de force à cette photo je couperais le bas juste au-dessus de la pointe de cette ombre en accroc (l’ombre du soulier de l’homme en fait).
J’ai hâte d’entendre d’autres avis 😉
J’adore! ce regard Yvapien, en douceur comme de vair, immédiatement reconnu, bien avant de lire l’auteur. Cet humour en pied de nez, contenu dans l’image, bien avant de lire le titre.
J’adore, bien au delà du graphisme, superbe, ce que contient l’image, ce qu’elle sait montrer et tout ce qu’elle suggère, ce superbe recul, ethno(podo)logique.
Il y a quelque chose du rituel dans cette confrontation des gambettes en représentation avec cet arc de cercle (qu’il ne faut à mon avis surtout pas amputer Bernard!), la position convenue des ces chevilles en érection. Une photographie qu’à du cors (…). Je retrouve ici ce sourire au coin de l’oeil que j’aime tant percevoir quand j’écoute du Brassens. Ce regard qui sait glisser, tout en subtilité, sans haine, avec tendresse même, des cailloux dans les chaussures du conformisme… le pied quoi!… 😉
Solong il y en a comme toi qui ont la capacité et l’aisance à exprimer les ressentis, bravo tu as su traduire ce que je percevais au-delà du graphisme.
Pour ce qui est de ma coupe suggérée, il n’est pas question de casser l’arc de cercle, juste en occulter la partie qui détourne le regard de l’essentiel déjà décrit 😉
aucune aisance avec les mots j’en suis navrée…mais ici grand sourire .
Merci à vous trois.
Bernard : ah non ! Si on coupe comme tu le proposes, la flaque de lumière est amputée, circoncise, par le bord de l’image, c’est bancal et casse sa dynamique de mouvement.
Elle DOIT disparaître dans l’ombre qui ferme l’image. Elle DOIT être complète puisque c’est autour d’elle que tout s’organise, et j’ai fait très attention à la PDV que le cadrage l’englobe en entier.