Bonjour.
Une image faite à Cabourg l’été dernier.
Olivier R.
A propos de moi... Je vis au Havre, j'aime la photographie contemporaine sans oublier celle qui fut à l'origine de mon intéret pour l'image. Si ce n'est pas clair pour vous, sachez que ça l'est encore moins pour moi.
Mon espace photographie... Andreas Seranno, James Natchwey, Michel Comte, Jeanloup sieff, Hiroshi Osaka, David Lynch et bien sûr Portishead.
Yvap…J’attends votre commentaire..
Que veux-tu que je te dise Flo ?
Contrairement au tag, pour moi il n’y rien d’abstrait ici, c’est même très réaliste. Une réalité tristounette qui ne m’accroche pas.
Encore une fois, je vois bien qu’il y a volonté de faire quelque chose de “décalé”, mais je ne vois pas de “fond”, je ne vois que la forme, et ça ne me suffit pas.
Désolé pour tinange, je préfère nettement d’autres photos de lui.
Sinon, ça me fait penser que je regrette la quasi disparition des boucheries chevalines ! 😉
J’aime et je dirais qu’il n’y a pas forcément une intention freudienne dans chaque cliché.
Nous sommes fait de bouts de sentiments confus et variés.
Alors, notre sensibilité s’enflamme ou pas, c’est ainsi, et il n’y aura jamais possibilité d’expliquer l’inexplicable.
Peu importe l’intention, abstrait ou pas, seule compte le sentiment que le photographe réussit à partager avec une autre personne et ce, même quand c’est un cliché pourri.
Ce qui n’est pas le cas du tout, ici…
j’aime énormément..je fais donc partie de ceux dont la sensibilité s’enflamme..votre photo m’emporte même hors cadre et me donne le désir de voir ce que je ne vois pas..plus je la regarde, plus je la trouve superbe, violente..
merci à vous tous.
effectivement flo, pour moi, dans le contexte ou je l’ai prise, elle est violente. Les courses de trot en nocture, les turfistes, les entraineurs, les jockeys, les vétérinaires et leurs seringues et ces pauvres bêtes, poussées au bout du bout pour que les petits hommes s’amusent.à gerber.
En “vrai” elle doit être encore mieux?…
tu veux dire en tirage ?
@ Tinange : J’avoue que j’ai du mal avec les chevaux, surtout en steak !
Sur un beau tirage NB sur papier mat avec des noirs profonds, cela doit être très intéressant, mais il est des sujets qui me hérisse.
Avant de savoir que c’était un cheval… personne ne le savait et maintenant haro sur les haras… (facile)
Bon sang ! on s’en fout que se soit un cheval ! sans doute que l’intention est en dessous de la compréhension mais ça sort vraiment du lot et elle pas trop mal foutu sa photo.
Pas assez explicite pour comprendre qu’il s’agit d’une échine d’équidé ou peu importe mais merde ! ça change !
En tout cas, je préfère voir l’échine que la copine… ou le chatchat à sa mémère…
Un coup de sang… ce n’est rien.
D’ailleurs je n’ai rien contre les copines… des numéros please !!!
Pardon… je m’égare.
que ce soit un cheval..C’est completement évident..
ceci n’est pas un cheval !
😉
mais pas un Magritte non plus..
😉
….
@ Eyeimage et Tinange : Je partage assez le point de vue de Eyeimage sous tous ses aspects ! Mais aussi, celui de Tinange, sur sa référence
à Magritte !
nom d’une pipe !! ça délire à tous crins !
j’ai le plaisir de l’avoir en grand format chez moi.. c’est une somptuosité.. merci, tinange 😉
Olivier je découvre cette photo en revoyant ta galerie, après notre conversation et je dis juste wouawwwwwwwww 😉
Pour le plaisir de la conversation réouverte par Henri, c’est une image très forte dans une composition très habilement décalée. L’encolure devient ligne d’horizon dans un environnement qui est plutôt resserré en terme d’espace. Le traitement de l’édition offre des teintes d’eau-forte. Ce cheval cloîtré nous emporte presque malgré lui, dans un parcours à la limite de la photographie et de la gravure, et franchit la ligne ténue qui unit l’abstraction au réel.