Louise Marquise

Louise Markise se dĂ©guise, et de fils en aiguilles, tisse une toile mĂªlĂ©e d’autoportraits et de poĂ©sie volĂ©e. Elle funambule entre le mot et l’image, entre la fantaisie et la nuditĂ©, les couleurs et les silences. Jeune adulte ou grande enfant, elle vit depuis cinq ans Ă  Berlin.
4 Commentaires
  1. Si tu as envie de commenter ta photo… j’aimerais en comprendre l’idĂ©e qui la soutient. Merci

  2. « EUH »

    (sauvĂ©e par le fait de devoir filer Ă  l’autre bout de la ville, je rĂ©flĂ©chis Ă  une Ă©ventuelle rĂ©ponse)

  3. Il n’y avait pas vraiment d’idĂ©e, en fait.

    C’est une image complètement improvisĂ©e, j’avais un quart d’heure devant moi avant que mon frère n’offre ce buste Ă  son amoureuse pour noĂ«l.

    Quand j’ai vu cet objet, lĂ , je l’ai trouvĂ© tellement beau, tellement fĂ©minin, j’ai attrapĂ© mon appareil et suis partie avec le mannequin sous le bras.

    Je me suis, après, énormément attachée à cette image, des mains de femmes sur des hanches de femmes, je trouve ça beau, ça me parle,

    la bague et la culotte,

    mĂªme si les sous-bois, les brindilles, ça ne prend pas forcĂ©ment sens.

  4. Quand Ă  la “cohĂ©rence” des premières images que j’ai laissĂ©es sur LVG, elle est un peu due au hasard, et un peu voulue aussi… Mais j’y voyais plus une cohĂ©rence esthĂ©tique que de message đŸ™‚

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