Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
37 Commentaires
Henri
sur 8 octobre 2010 à 15h46
Très belle photo.j’aime beaucoup . Ce rayon de lumière , trop timide pour une vrais caresse , qui effleure délicatement ce corps en attente…
mnk
sur 8 octobre 2010 à 16h31
C’est le premier (pas) qui se fait désirer le plus, et c’est la force de cette image toute d’élégance suggestive
daniel
sur 8 octobre 2010 à 17h50
beau, simple, épuré. Engageant et érotique. Chapeau!
Je la trouve superbe, toute en subtilité dans les ombres, et pour moi les ténèbres sont en effet, depuis longtemps, devenues plus attirantes et ici elles auraient tendance à faire tourner la tête…
L'OliV
sur 8 octobre 2010 à 22h14
C’est vrai qu’il y a de quoi être attiré par le coté obscur de la force… 😉
Trés belle image pour les raisons déjà évoquées. Je trouve malgré tout que l’on est un peu loin du modèle.Peut-être qu’un recadrage pour enlever un peu de la zone sombre à gauche tout en conservant le torse, l’escalier, la raie de lumière…
christian B.
sur 9 octobre 2010 à 22h26
Extra ; la lumière est magnifique, mais ce sont tout de même les coins obscurs qui m’attirent 😉
Yvap
sur 9 octobre 2010 à 22h32
Que dire après tout ce florilège ?
Simplement bravo !
Selon l’écran on distingue les jambes… ou pas. Je préfère quand on ne les voit pas. Vos photos portent souvent sur l’auto-portrait, la nudité… et la robe de mariée !?
Je la revoie encore et cette fois-ci je suis attiré par le parallèle entre la sensualité du corps et celle du mur de l’escalier qui est presque une seconde peau aussi…
arrivant un peu tard, tout a été dit.
J’adore cet auto portrait riche d’inventivité et avec une mise en scène ou la lumière joue le premier rôle malgré cette nudité épurée. Ce rayon de lumière parfaitement équilibré nous détaille chaque plan.
Superbe
Loïs
sur 11 octobre 2010 à 15h33
D’après les commentaires, vous avez tous atteint le septième c… euh.. la septième marche… 😉
Patrick Hirtz
sur 12 octobre 2010 à 11h54
Je “reviens” sur LVEG après quelques mois d’absence et “tombe sur votre image…cet “autoportrait” est tout simplement superbe…
@Lilo : mais où ai-je dit de retirer du noir ??? Je crois même avoir dit l’inverse 🙂
Loïs
sur 12 octobre 2010 à 19h34
Je ne suis pas emballé.
D’accord avec Sylvain, un ample recadrage pour supprimer la masse sombre de gauche!Je trouve la pose un peu rigide pour une situation peu naturelle.
Je me permets d’autant plus ces remarques après avoir visité votre site qui est vraiment un espace de grâce, de fraîcheur et de spontanéité aérienne. 🙂
Bernar Lvq
sur 12 octobre 2010 à 19h55
Louise si vous êtes sur Paris je vous propose de vous faire un portrait, non que vous n’êtes pas bonne en autoportrait… voir mon intention rapport à ma photo Julie
Loïs tu parles de la masse noire, mais tu n’as peut-être pas vu que l’escalier, la source de lumière est parfaitement centrée et axe le regard, en coupant tu déséquilibre l’intention de la photographe … le titre… six pas vers LA LUMIÈRE (mon avis)
Loïs
sur 12 octobre 2010 à 21h32
@ Bernard : oui, peut être…enfin peu importe…
Si je n’avais pas visité le site de Louise je n’aurais pas laissé de commentaire, selon la règle implicite de LVG.
Si tu vas voir la série “Faites entrer la lumière”, tu y trouveras tout ce qui manque à cette photo ( à mon sens).
Bien à toi.
Loïs : J’en reviens suite à ton précédent commentaire très incitatif et admiratif… très rafraîchissant comme tu disais, çà vaut le détour, un bon moment de plaisir.
PS. “..je n’aurais pas laissé de commentaire, selon la règle implicite de LVG” .. ? je ne connais pas cette règle, es-tu sûr ?
Celle avec les jambes me semble plus intéressante que ce buste, on a un rapport plus évident entre cet escalier et le personnage. Certes, l’esthétique est bien là et la situation capte le regard, mais je n’arrive pas à me reconstituer une histoire.
marie
sur 29 octobre 2010 à 13h43
j’opte également pour les jambes!
tiniak
sur 10 décembre 2010 à 17h16
Si, pas vers la lumière
où tait-on de l’obscur
le ventre amer et dur
pour avancer, la main au vent
vers l’autre qui se tient devant
et que l’on ne devine
que parce qu’on l’imagine
là-bas, nous attendant ?
Un pas, vide
Deux pas sages
Trois pas pour l’équilibre
Quatre pour le courage
Cinq pas pour être un nom de roi
Six lettres : moi + toi
Ce visage dans l’ombre, il
me rappelle ton nombril
comme j’aimais le voir
pâleur ourlée de noir
s’agitant de souffle animal
quand s’accordait à ton canal
ma caresse fragile
Et ses yeux qui s’aiguisent
me révoquent, marquise
comme tu prenais à ta guise
mes deux yeux dans les tiens
en caressant mon chien
et murmurant que tout est mort
au-delà de ce corridor
Très belle photo.j’aime beaucoup . Ce rayon de lumière , trop timide pour une vrais caresse , qui effleure délicatement ce corps en attente…
C’est le premier (pas) qui se fait désirer le plus, et c’est la force de cette image toute d’élégance suggestive
beau, simple, épuré. Engageant et érotique. Chapeau!
Biùtifùl
Je rejoins les commentaires précédents… Très belle image
Quand les ténèbres sont plus attirantes que la lumière… Diabolique guet-apens.
Je la trouve superbe, toute en subtilité dans les ombres, et pour moi les ténèbres sont en effet, depuis longtemps, devenues plus attirantes et ici elles auraient tendance à faire tourner la tête…
C’est vrai qu’il y a de quoi être attiré par le coté obscur de la force… 😉
Superbe !
Justes quelques mots: SUPERBE- MAGIQUE – J’ADORE !…
Merci, vraiment, (beaucoup) !
C est déjà dit … Mais Je la trouve superbe…..
Bravo 😉
Trés belle image pour les raisons déjà évoquées. Je trouve malgré tout que l’on est un peu loin du modèle.Peut-être qu’un recadrage pour enlever un peu de la zone sombre à gauche tout en conservant le torse, l’escalier, la raie de lumière…
Extra ; la lumière est magnifique, mais ce sont tout de même les coins obscurs qui m’attirent 😉
Que dire après tout ce florilège ?
Simplement bravo !
Selon l’écran on distingue les jambes… ou pas. Je préfère quand on ne les voit pas. Vos photos portent souvent sur l’auto-portrait, la nudité… et la robe de mariée !?
Superbe image avec une composition originale et pointue. Avec un titre que j’aime beaucoup!
Encore bravo, superbe !
Je la revoie encore et cette fois-ci je suis attiré par le parallèle entre la sensualité du corps et celle du mur de l’escalier qui est presque une seconde peau aussi…
Merci à tous !
@Tristan : Il y aussi les jambes toutes seules : http://2.bp.blogspot.com/_lSZTjagwyXk/TLGrJQpt72I/AAAAAAAAAv0/dRYA-WaIL4E/s1600/P1070740.jpg
PS : La remarque sur la robe de mariée m’a beaucoup fait rire. C’est une obsession passagère qui m’amuse beaucoup…
@Bernard : Très belle remarque, très pertinente, je redécouvre mon image…
arrivant un peu tard, tout a été dit.
J’adore cet auto portrait riche d’inventivité et avec une mise en scène ou la lumière joue le premier rôle malgré cette nudité épurée. Ce rayon de lumière parfaitement équilibré nous détaille chaque plan.
Superbe
D’après les commentaires, vous avez tous atteint le septième c… euh.. la septième marche… 😉
Je “reviens” sur LVEG après quelques mois d’absence et “tombe sur votre image…cet “autoportrait” est tout simplement superbe…
Magnifique.
Je ne trouve rien d’autre à dire, à part que contrairement à Tristan, je ne retirerait pas un pixel de noir. Bravo.
@Lilo : mais où ai-je dit de retirer du noir ??? Je crois même avoir dit l’inverse 🙂
Je ne suis pas emballé.
D’accord avec Sylvain, un ample recadrage pour supprimer la masse sombre de gauche!Je trouve la pose un peu rigide pour une situation peu naturelle.
Je me permets d’autant plus ces remarques après avoir visité votre site qui est vraiment un espace de grâce, de fraîcheur et de spontanéité aérienne. 🙂
Louise si vous êtes sur Paris je vous propose de vous faire un portrait, non que vous n’êtes pas bonne en autoportrait… voir mon intention rapport à ma photo Julie
Loïs tu parles de la masse noire, mais tu n’as peut-être pas vu que l’escalier, la source de lumière est parfaitement centrée et axe le regard, en coupant tu déséquilibre l’intention de la photographe … le titre… six pas vers LA LUMIÈRE (mon avis)
@ Bernard : oui, peut être…enfin peu importe…
Si je n’avais pas visité le site de Louise je n’aurais pas laissé de commentaire, selon la règle implicite de LVG.
Si tu vas voir la série “Faites entrer la lumière”, tu y trouveras tout ce qui manque à cette photo ( à mon sens).
Bien à toi.
Loïs : J’en reviens suite à ton précédent commentaire très incitatif et admiratif… très rafraîchissant comme tu disais, çà vaut le détour, un bon moment de plaisir.
PS. “..je n’aurais pas laissé de commentaire, selon la règle implicite de LVG” .. ? je ne connais pas cette règle, es-tu sûr ?
Celle avec les jambes me semble plus intéressante que ce buste, on a un rapport plus évident entre cet escalier et le personnage. Certes, l’esthétique est bien là et la situation capte le regard, mais je n’arrive pas à me reconstituer une histoire.
j’opte également pour les jambes!
Si, pas vers la lumière
où tait-on de l’obscur
le ventre amer et dur
pour avancer, la main au vent
vers l’autre qui se tient devant
et que l’on ne devine
que parce qu’on l’imagine
là-bas, nous attendant ?
Un pas, vide
Deux pas sages
Trois pas pour l’équilibre
Quatre pour le courage
Cinq pas pour être un nom de roi
Six lettres : moi + toi
Ce visage dans l’ombre, il
me rappelle ton nombril
comme j’aimais le voir
pâleur ourlée de noir
s’agitant de souffle animal
quand s’accordait à ton canal
ma caresse fragile
Et ses yeux qui s’aiguisent
me révoquent, marquise
comme tu prenais à ta guise
mes deux yeux dans les tiens
en caressant mon chien
et murmurant que tout est mort
au-delà de ce corridor
(bientôt dans…)
tiniak – carnÂges © 2010 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
Un de mes clichés préféré parmi tout ton travail.
Je n’avais pas vu celle-là. Très suggestive et très belle.
Idem Brigitte!
Attente,
suavité
et, à la fois,
gravité…