Flo est maintenant en ses terres familiales de Corse…

Flo m’avait demandé cette photo, sans vouloir m’en expliquer la raison, raison très forte cependant.
Aussi, en hommage, je tenais à ce qu’elle soit accolée à celle postée ci-avant par Freddy.




Bernard Lvq

La photo, un regard au-delà des mots et un partage
6 Commentaires
  1. Très bel hommage Bernard…
    Bravo pour cette excellente photo.

  2. salut Freddy, je te remercie.
    Au-delà du fait qu’elle te plaise, quel sens lui donnerais-tu, toi ? (Histoire que je puisse y voir autre chose… ne pas essayer d’expliquer ce que moi j’ai voulu y mettre)

  3. Le croisement des mondes. Le passage. La lente disparition ou l’acharnement à vouloir demeurer…

  4. Je l’aime beaucoup celle ci! C’est difficile à expliquer mais j’ai bien du mal à l’intégrer au contexte de la disparition récente de Flo. Il y a bien sur quelque chose sur le passage et l’éphémère… mais question de registre… j’y ai perçu en la découvrant quelque chose de la drôlerie féroce… un truc entre le gag et le tragique et l’angoissant, sans très bien savoir dire pourquoi. La sensation d’être mis en port à faux, avec la perception immédiate à la foi d’une grande sobriété et d’une grande sophistication dans cette image d’un quidam exposé… Solidement campée comme son sujet sur sa chaise, comme pour nous rassurer avant de nous happer (Il y a aussi un genre d’effet miroir), l’image devient immédiatement mouvante, décalée, surréaliste (on te parlera certainement de Magritte), insaisissable dans cette transparence, les détails multiples et le champs grand ouvert des interprétations qu’on peut en faire…
    voici un peu pourquoi je l’aime beaucoup celle ci… et je n’ai pas dit grand chose… 😉

  5. PS: je la trouve tout de même un peu grizou dans le traitement, en bas surtout…

  6. Bien sûr Solong le grisou c’est dû à la transparence du personnage (transparence et superposition si l’on parle technique) par rapport au fond qui ne comportait que le décor et la chaise.

    Je vais quand même t’expliquer une partie de ma démarche.
    J’ai demandé à cette personne “agent de surveillance” de Musée de poser pour moi. Son métier l’oblige d’être présent, visible (mais anonyme), tout en étant effacé.
    J’ai voulu traduire de cette manière la négation de sa personnalité.

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