9 Commentaires
  1. magnifique moment, vision symbolique très forte!

    est-ce qu’il serait possible d’obtenir quelques “vrais” blancs (sur les vaches par exemple et sur l’oiseau) car la photo est un peu grise dans l’ensemble et donc un peu terne…
    par ailleurs, j’aime beaucoup le cadrage panoramique,mais il pourrait (peut-être) être amélioré. en effet il n’y a pas de franc parti pris de composition. serait-il possible d’essayer de carrément couper la partie gauche (contre ce qui se fait en général: laisser du champ devant la direction de l’oiseau) et le laisser face contre le bord , prêt à sortir de l’image. en laissant un peu d’espace quand même mais en marquant bien l’intention: dès lors, le sujet serait vraiment écarté du centre et l’ensemble serait à la fois plus dynamique et mieux composé (de mon point de vue) avec un effet de diagonale entre l’oiseau et la vache de droite, qui en plus se tournent le dos)… ce n’est qu’une suggestion qui n’engage que moi !

  2. J’aime bien ce gris terne, je ne toucherais pas ça. Mais d’accord avec l’observation de DenBar sur le cadrage, je pense qu’il suffit d’enlever 1 cm à gauche pour trouver l’équilibre.

  3. J’aime beaucoup l’ambiance de cette image, ce quelque chose de fantastique…

  4. fantastique et très bucolique.. moi aussi j’aime ces tons de gris, même beaucoup..
    quant au cadrage.. je ne sais pas, parce que je trouve que son, peut-être manque de rigueur, lui va bien

  5. Merci à tous! 🙂
    j’avais en tête pour cette photo le poème de Jean Richepin “Les oiseaux de passage” et le grain et la douceur de la voix de Brassens sur ce titre.
    J’ai ainsi tenté de ternir un peu la partie basse (les bovins): “o vie heureuse des bourgeois, qu’avril bourgeonne ou que décembre gèle ils sont fiers et contents… ils n’ont aucun désir de baiser sur les lèvres et loin des songes vains, loin des soucis cuisants, possèdent pour tout coeur, un viscère sans fièvre, un coucou régulier, et garanti dix ans…”
    et de garder plus de luminosité sur le haut de l’image, sans trop pour ne pas perdre de la lisibilité des détails des ailes de ce cygne sauvage. (“regardez les passer, eux, ce sont les sauvages, ils vont où leur désir le veux par dessus monts et bois et mers et vents, et loin des esclavages, l’air qu’ils boivent ferait éclater vos poumons…”)
    Le cadrage me posait problème car le signe était plein centre sur le cliché original (mise au point sur lui, pas le temps de décadrer..). J’avais opté pour une option plus panoramique en laissant de l’espace à gauche pour le vol sauvage… j’ai coupé un peu pour LVEG car le format plus large ne laissait plus rien apparaître des détails du cygne… je n’avais pas envisagé de le coller au cadre.. je vais essayer les options que vous me proposez… Merci encore pour ces avis… 🙂

  6. Un autre vol suspendu. Très beau.

  7. Quelle beauté! Cet éclairage de peintre flamand sur les vaches et ce volatile qui croise au-dessus de l’animale condition!…

  8. Une autre!

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