francois47 sur 17 juin 2010 à 1h16 Mamie semble très décidée à virer le client scotché au comptoir et perdu dans ses pensées,papi parait dubitatif, plus compréhensif, la machine à café est prête pour demain!.
solong sur 17 juin 2010 à 7h55 Minuit quarante, une heure moins vingt!… Quelle belle tranche de vie! et quel coup d’oeil à nouveau! J’adore ce point de vue et cette trouvaille du montant de la vitre qui sépare peu à peu les deux univers. Il semble glisser façon essuie glace sous l’impulsion de la grande aiguille et du regard de la femme, et refouler tranquillement ce noctambule qui s’accroche (son regard!, celui absent du cafetier qui ne lui laisse aucune prise…). Un professionnalisme doux des deux qu’en ont vu d’autres.. Comme l’a bien dit François, la partie droite me parait très narrative. Elle renforce cette perception du temps qui passe et place l’instant dans le mouvement perpétuel de la routine: tout recommencera demain. Le montant de la vitre comme un curseur qui va disparaître à gauche pour réapparaître à droite au lever du rideau… le Noir et blanc est superbe. BRAVO! 🙂
jean-Marc Silvestre sur 17 juin 2010 à 8h41 Superbe, c’est bien l’ambiance des bistrots parisiens en fin de soirée.
dacko sur 17 juin 2010 à 19h02 wouahou!!! bien captée cette ambiance de bar Yvap… bravo question : il y a pas un jeu de dames ou autre derrière le montant de la vitrine?
HODIE sur 17 juin 2010 à 21h09 cela faisait longtemps que j’avais pas fait un petit tour sur LVEG et je ne suis pas déçue de tomber en premier lieu sur cette photo! Très belle ambiance! on se croirait même dans une scène de film digne d’un grand réalisateur ! 😉 Très belles expressions saisies et beau cadrage! Bravo!
Dacko sur 18 juin 2010 à 9h52 J avais l impression qu il y avait un jeu ( échecs,4/21,dames) entre le barman et le client vu la concentration des deux …
monk sur 18 juin 2010 Ã 23h51 Belle photo N&B avec cette ambiance bistrot. Composition originale avec ce montant plein cadre
bernard levq sur 21 juin 2010 à 23h52 “Images commandées ou photos buissonnières, depuis 50 ans Marc Riboud sillonne la planète comme un reporter, un voyageur, un promeneur qui aime prendre son temps. Les amateurs connaissent son goût pour la surprise, sa sympathie pour les êtres. Rétif à la violence, ses photos révèlent le plaisir de l’œil.” Texte d’introduction au site de Marc Riboud. Marc Riboud Liu Li Chang, la rue des antiquaires Voila, avec un peu de retard, au-delà des mots, au-delà des regards de ces personnages et du jeu sur lequel ils paraissent concentrés, ce vers quoi ta photo m’a renvoyé, et le texte d’introduction pourrait je pense s’adapter à toi aussi, ce qui reconnais-le peut s’assimiler à un grand compliment 😉
bernard levq sur 22 juin 2010 à 0h17 Yvap voici encore un clin d’Å“il vers lequel m’a fait voyager ta photo : “La beauté de la photographie … tient à l’attention douce de son regard”. “Apprendre à voir les détails les plus simples, le menu détail qui exprime l’essentiel, le petit geste qui explique le mouvement, le fléchissement du doigt qui suggère l’état d’âme, l’expression de l’individu qui parle de la foule, l’infiniment petit qui raconte le grand, le regard de l’autre qui dit son angoisse ou sa joie” … Homme dans le brouillard, Paris 1953 Tu as de tous ces regards
Yvap sur 22 juin 2010 Ã 0h48 Merci beaucoup Bernard. Marc Riboud et Sabine Weiss sont en effet de ceux qui me sont le plus chers.
Mamie semble très décidée à virer le client scotché au comptoir et perdu dans ses pensées,papi parait dubitatif, plus compréhensif, la machine à café est prête pour demain!.
Minuit quarante, une heure moins vingt!… Quelle belle tranche de vie! et quel coup d’oeil à nouveau!
J’adore ce point de vue et cette trouvaille du montant de la vitre qui sépare peu à peu les deux univers. Il semble glisser façon essuie glace sous l’impulsion de la grande aiguille et du regard de la femme, et refouler tranquillement ce noctambule qui s’accroche (son regard!, celui absent du cafetier qui ne lui laisse aucune prise…). Un professionnalisme doux des deux qu’en ont vu d’autres..
Comme l’a bien dit François, la partie droite me parait très narrative. Elle renforce cette perception du temps qui passe et place l’instant dans le mouvement perpétuel de la routine: tout recommencera demain. Le montant de la vitre comme un curseur qui va disparaître à gauche pour réapparaître à droite au lever du rideau…
le Noir et blanc est superbe.
BRAVO! 🙂
Superbe, c’est bien l’ambiance des bistrots parisiens en fin de soirée.
wouahou!!! bien captée cette ambiance de bar Yvap… bravo
question : il y a pas un jeu de dames ou autre derrière le montant de la vitrine?
cela faisait longtemps que j’avais pas fait un petit tour sur LVEG et je ne suis pas déçue de tomber en premier lieu sur cette photo!
Très belle ambiance! on se croirait même dans une scène de film digne d’un grand réalisateur ! 😉 Très belles expressions saisies et beau cadrage! Bravo!
Merci à tous.
@ dacko : je ne vois pas de quoi tu parles.
J avais l impression qu il y avait un jeu ( échecs,4/21,dames)
entre
le barman et le client vu la concentration des deux …
Belle photo N&B avec cette ambiance bistrot.
Composition originale avec ce montant plein cadre
“Images commandées ou photos buissonnières, depuis 50 ans Marc Riboud sillonne la planète comme un reporter, un voyageur, un promeneur qui aime prendre son temps. Les amateurs connaissent son goût pour la surprise, sa sympathie pour les êtres. Rétif à la violence, ses photos révèlent le plaisir de l’œil.”
Texte d’introduction au site de Marc Riboud.
Marc Riboud Liu Li Chang, la rue des antiquaires
Voila, avec un peu de retard, au-delà des mots, au-delà des regards de ces personnages et du jeu sur lequel ils paraissent concentrés, ce vers quoi ta photo m’a renvoyé, et le texte d’introduction pourrait je pense s’adapter à toi aussi, ce qui reconnais-le peut s’assimiler à un grand compliment 😉
Yvap voici encore un clin d’Å“il vers lequel m’a fait voyager ta photo :
“La beauté de la photographie … tient à l’attention douce de son regard”.
“Apprendre à voir les détails les plus simples, le menu détail qui exprime l’essentiel, le petit geste qui explique le mouvement, le fléchissement du doigt qui suggère l’état d’âme, l’expression de l’individu qui parle de la foule, l’infiniment petit qui raconte le grand, le regard de l’autre qui dit son angoisse ou sa joie” …
Homme dans le brouillard, Paris 1953
Tu as de tous ces regards
Merci beaucoup Bernard.
Marc Riboud et Sabine Weiss sont en effet de ceux qui me sont le plus chers.
bravo et à Yvap, et à Bernard pour ses commentaires.. 😉