Urbaniste, photographe, webmaster...infirmière, militante, enseignante, voyageurs tous les deux, aussi et encore, même si maintenant nous avons ajouté des roulettes à nos sac à dos.
Jamais vraiment revenus de notre premier voyage au Maroc et depuis, toujours en connexion avec les berbères de l'atlas, notre deuxième famille.
5 Commentaires
Christian B.
sur 4 mars 2010 à 11h00
Super cadrage et pose du personnage intéressante..
bernard lev
sur 4 mars 2010 à 15h21
idem Christian, j’aime beaucoup.
Toute une ambiance polar. Le calage sur la tête de l’enseigne est très bien vu. Dommage pour les mains.
Je dirais plutôt dommage pour le “H”. Mais très bonne image quand même.
solong
sur 4 mars 2010 à 21h29
Très “cinématographique”, une histoire à se raconter! J’aime au contraire ce choix manifeste d’un cadrage bancal qui laisse l’instant saisi en équilibre précaire, en suspend: quelque chose va se passer.. La coupure de H va bien avec la bascule du T, la chute du O, renvoie à la coupure des mains.. la verticalité bouscule l’horizontalité du regard…le choix du développement va dans le même sens, les matières sont consistantes, contrastées… et le personnage, quel regard, quelle gueule et quelle allure! un polar assurément: 22 v’là les perdreaux!
Patrick Hirtz
sur 4 mars 2010 à 23h34
Belle image, efficace, très cinématographique en effet qui donne libre cours à l’imagination…J’aime beaucoup!
Super cadrage et pose du personnage intéressante..
idem Christian, j’aime beaucoup.
Toute une ambiance polar. Le calage sur la tête de l’enseigne est très bien vu. Dommage pour les mains.
Je dirais plutôt dommage pour le “H”. Mais très bonne image quand même.
Très “cinématographique”, une histoire à se raconter! J’aime au contraire ce choix manifeste d’un cadrage bancal qui laisse l’instant saisi en équilibre précaire, en suspend: quelque chose va se passer.. La coupure de H va bien avec la bascule du T, la chute du O, renvoie à la coupure des mains.. la verticalité bouscule l’horizontalité du regard…le choix du développement va dans le même sens, les matières sont consistantes, contrastées… et le personnage, quel regard, quelle gueule et quelle allure! un polar assurément: 22 v’là les perdreaux!
Belle image, efficace, très cinématographique en effet qui donne libre cours à l’imagination…J’aime beaucoup!