33 ans - la photo est un hobby que j'apprécie car j'ai énormément à apprendre sur le sujet . J'utilise un Nikon D80. Du côté software : Bibble pro et Gimp.
6 Commentaires
rvmarec
sur 20 septembre 2009 à 1h36
Bien vu, bo, cadrages, avec en prime une histoire 🙂
J’aime particulièrement le portrait de gauche, avec son regard ‘en coin’..
Sylvain.B
sur 21 septembre 2009 à 14h29
Une belle série. j’aurais inversé les images droite/gauche. pour que, de chaque côté, le regard du gamin rentre dans l’image… mais peut être cela aurais altéré l’aspect rêveur du garçon et son regard qui s’échappe comme ces pensées… finalement je ne sais plus…
mikare
sur 22 septembre 2009 à 16h01
Bonjour a tous
Hé oui Sylvain, j’ai eu autant de mal à choisir.
Je suis dans une phase ou j’ai un peu ras le bol d’avoir des clichés sans relation, sans thème. Des photos interessantes mais sans lien particulier.
Je voudrais me lancer dans un projet de triptyques, afin de raconter une histoire, décrire une atmosphère en trois photos maximum (voilà pourquoi j’ai été heureux de lire le commentaire de rvmarec, qui y a vu une histoire)
Au final moi choix s’est porté sur le sens de la lecture (gauche vers droite) pour montrer la chronologie. Le souci c’est que j’ai très bien en tête l’ambiance de la “session”. Et la photo de gauche, marquait vraiment son ras le bol par rapport au mitraillage qui a précédé. Et donc dans mon inconscient cette photo est à la fin de la série, donc a gauche. De plus les deux regards vers le centre donnaient de l’importance au plat de pâtes ce qui n’était pas du tout l’atmosphère lors de la séance.
Je n’ai quasi jamais fait de portrait, à part les photos classiques de famille. J’ai donc “profiter” de mon gamin pour faire des essais de portrait. La plus grande leçon de cette expérience. C’est que le modèle peut rapidement se lasser de ce petit jeu. Il faudrait probablement que je prévisualise les cadrages dans mon esprit afin de tirer moins souvent. La séance sera donc moins longue.
Sylvain.B
sur 22 septembre 2009 à 17h26
Finalement c’est bien ces regard qui sortent de l’image. en portrait, soit les premiers shoots sont les bons, soit il faut “pousser” un peu sont sujet jusqu’à ce qu’il s’oublie un peu et se révèle enfin.
Bien vu, bo, cadrages, avec en prime une histoire 🙂
Bonne idée bien réalisée.
J’aime particulièrement le portrait de gauche, avec son regard ‘en coin’..
Une belle série. j’aurais inversé les images droite/gauche. pour que, de chaque côté, le regard du gamin rentre dans l’image… mais peut être cela aurais altéré l’aspect rêveur du garçon et son regard qui s’échappe comme ces pensées… finalement je ne sais plus…
Bonjour a tous
Hé oui Sylvain, j’ai eu autant de mal à choisir.
Je suis dans une phase ou j’ai un peu ras le bol d’avoir des clichés sans relation, sans thème. Des photos interessantes mais sans lien particulier.
Je voudrais me lancer dans un projet de triptyques, afin de raconter une histoire, décrire une atmosphère en trois photos maximum (voilà pourquoi j’ai été heureux de lire le commentaire de rvmarec, qui y a vu une histoire)
Au final moi choix s’est porté sur le sens de la lecture (gauche vers droite) pour montrer la chronologie. Le souci c’est que j’ai très bien en tête l’ambiance de la “session”. Et la photo de gauche, marquait vraiment son ras le bol par rapport au mitraillage qui a précédé. Et donc dans mon inconscient cette photo est à la fin de la série, donc a gauche. De plus les deux regards vers le centre donnaient de l’importance au plat de pâtes ce qui n’était pas du tout l’atmosphère lors de la séance.
Je n’ai quasi jamais fait de portrait, à part les photos classiques de famille. J’ai donc “profiter” de mon gamin pour faire des essais de portrait. La plus grande leçon de cette expérience. C’est que le modèle peut rapidement se lasser de ce petit jeu. Il faudrait probablement que je prévisualise les cadrages dans mon esprit afin de tirer moins souvent. La séance sera donc moins longue.
Finalement c’est bien ces regard qui sortent de l’image. en portrait, soit les premiers shoots sont les bons, soit il faut “pousser” un peu sont sujet jusqu’à ce qu’il s’oublie un peu et se révèle enfin.