Monsieur HR sur 30 août 2013 à 21h43 Le personnage en blanc paraît symboliquement hésiter qui se tient en équilibre sur le rail. Où sommes nous ?
nathalie f sur 30 août 2013 à 23h01 Très beau. La netteté de ce personnage qui nous dit le monde nouveau (?) et le flou d’arrière plan. L’équilibre semble précaire. Le monde nouveau c’est aussi les sacs en plastique… Vietnam ?
Henri sur 31 août 2013 à 7h41 Un carré vraiment très beau. Parfois quand les mots ne viennent pas , il faut juste regarder , là c’est le cas . Bravo.
brigitte david sur 31 août 2013 à 8h50 On voyage dans cet entre-deux mondes.Ou dans un seul monde qui se délite et ne contient plus ses détritus. L’Inde plutôt? Peu importe. La balustrade de l’immeuble m’évoque celle du Palais du Maharadjah dans Le Salon de Musique. Le linge sèche près de la voie ferrée. La vie prend dans ces espaces délaissés et dangereux. A Lyon en ce moment les roms “vivent” sous les bretelles d’autoroute. Il y a peu ils étaient installés dans un coude du tramway. Entre deux grandes voies de circulation.
jg sur 31 août 2013 à 9h45 Belle image de reportage…à se demander si l’entre-deux existe vraiment et si le binaire n’a pas pris sa place.
François Cardi sur 31 août 2013 à 10h41 C’est quand même plus que beau (même si la photographie est magnifique): l’image donne à penser une opposition, un chemin tracé et un personnage en équilibre précaire dans son cheminement. Et au fond le feu vert!
hervé sur 31 août 2013 à 11h04 La Kolkata circular Railway est une ligne qui encercle toute la ville de Calcutta, ici près du fleuve elle sépare des maisons de l’époque coloniale et des habitations plus que précaires. L’endroit se situe un peu après la fin de ce film: ici. Cet homme n’a esquissé qu’un ou deux pas en équilibre sur le rail, peut-être un souvenir d’enfance. @Brigitte, bravo le salon de musique est bien un film dont l’action se situe au Bengale.
Estienne sur 31 août 2013 à 14h22 Extraordinaire ambiance dans ce carré ! Magnifique ! J’aimerai l’avoir faite ! Rien à dire de plus !
brigitte david sur 31 août 2013 à 19h19 Je ne résiste pas à vous communiquer ce que je sais du Salon de Musique. Le film est tiré d’une nouvelle de Tagore. Satyajit Ray écume l’Inde à la recherche du palais qui corresponde à celui qu’il avait en tête. Il voit… 40 palais. Aucun ne correspond. Il décide de laisser tomber. C’est alors que quelqu’un lui propose une autre visite. ET là . That’s it. Il découvre plus tard que c’est ce même palais qui a inspiré Tagore.
Kora sur 1 septembre 2013 à 13h22 On a envie de suivre cet homme à la chemise blanche qui invite à la visite ….
alain-michel boley sur 1 septembre 2013 à 23h30 Un scenic railway, au sens très propre du terme ! 😉
raphael sur 2 septembre 2013 à 21h46 La teinte de la photo est vraiment parfaite pour cette scène… tout comme la luminosité ! bravo
Le personnage en blanc paraît symboliquement hésiter qui se tient en équilibre sur le rail.
Où sommes nous ?
Très beau. La netteté de ce personnage qui nous dit le monde nouveau (?) et le flou d’arrière plan. L’équilibre semble précaire. Le monde nouveau c’est aussi les sacs en plastique… Vietnam ?
Un carré vraiment très beau.
Parfois quand les mots ne viennent pas , il faut juste regarder , là c’est le cas .
Bravo.
On voyage dans cet entre-deux mondes.Ou dans un seul monde qui se délite et ne contient plus ses détritus. L’Inde plutôt? Peu importe. La balustrade de l’immeuble m’évoque celle du Palais du Maharadjah dans Le Salon de Musique. Le linge sèche près de la voie ferrée. La vie prend dans ces espaces délaissés et dangereux.
A Lyon en ce moment les roms “vivent” sous les bretelles d’autoroute. Il y a peu ils étaient installés dans un coude du tramway. Entre deux grandes voies de circulation.
Belle image de reportage…Ã se demander si l’entre-deux existe vraiment et si le binaire n’a pas pris sa place.
Quelle ambiance, merci, F
Idem. JM
C’est quand même plus que beau (même si la photographie est magnifique): l’image donne à penser une opposition, un chemin tracé et un personnage en équilibre précaire dans son cheminement. Et au fond le feu vert!
Superbe, une image forte à caractère universel.
La Kolkata circular Railway est une ligne qui encercle toute la ville de Calcutta, ici près du fleuve elle sépare des maisons de l’époque coloniale et des habitations plus que précaires.
L’endroit se situe un peu après la fin de ce film: ici.
Cet homme n’a esquissé qu’un ou deux pas en équilibre sur le rail, peut-être un souvenir d’enfance.
@Brigitte, bravo le salon de musique est bien un film dont l’action se situe au Bengale.
Extraordinaire ambiance dans ce carré ! Magnifique ! J’aimerai l’avoir faite ! Rien à dire de plus !
Superbe !
Je ne résiste pas à vous communiquer ce que je sais du Salon de Musique. Le film est tiré d’une nouvelle de Tagore. Satyajit Ray écume l’Inde à la recherche du palais qui corresponde à celui qu’il avait en tête. Il voit… 40 palais. Aucun ne correspond. Il décide de laisser tomber. C’est alors que quelqu’un lui propose une autre visite. ET là . That’s it. Il découvre plus tard que c’est ce même palais qui a inspiré Tagore.
Waouw waouw waouw. Pas de mots !
On a envie de suivre cet homme à la chemise blanche qui invite à la visite ….
Un scenic railway, au sens très propre du terme !
😉
Superbe !
La teinte de la photo est vraiment parfaite pour cette scène… tout comme la luminosité ! bravo
Merci à tous de votre lecture.
Un vrai voyage…intemporel…