13 juillet dernier, en regardant par-dessus le grillage du fond de mon jardin. Ici commence le pays des blaireaux, des renards, des sangliers et des chevreuils.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
6 Commentaires
  1. Belle perspective.

  2. Un cadre agréable avec ses branchages. Dommage l’arrière plan manque de contratse pour moi.

  3. L’herbe est toujours plus douce chez le voisin.

  4. Une trouée vers une belle palette de gris. Très bucolique comme voisinage !

  5. @ Lespans : Le second plan ici n’est qu’un lointain rappel du premier.
    @ Estienne : Oui, j’aime la proximité du sauvage à mes lisières.
    @ Hervé : Cette herbe est surtout très riche nutritivement. C’est une prairie qui n’a jamais été labourée. En tout cas de mémoire d’homme.

  6. Et c’est le prolongement d’un corridor écologique, qui commence un peu au-dessus de la maison, par une grande mare tapie dans un bois, et qui se prolonge sur plusieurs kilomètres, le long d’un ruisseau qui serpente en prenant son temps. Le passage obligé pour les rennes et les aurochs.

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