Cette fois sans vignetage.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
9 Commentaires
  1. Il pleuvait à grosses gouttes. On en voit les traces à plusieurs endroits.

  2. Même l’eau prend l’eau !
    Une barque se décompose.
    L’église et le presbytère sur le point de disparaître.

    Provocation: pourquoi ne pas avoir tenté un vignettage vers le clair ?

  3. J’aime votre humour, Monsieur R !
    MTFL

  4. Une composition très bien équilibrée qui renforce la quiétude du lieu.

  5. Allez, j’y vais d’un nouveau poème, en hommage à ce lieu et à ce temps hors cadre et hors temps de mon été dans le Morbihan :

    Plus de place dans les restos
    obligé de manger dehors
    poulet sauce crachin.

    Abondantes mûres
    sur le sentier côtier
    elles remontent le moral.

    Roucoulement de ramiers
    tout au long du sentier
    pas de répit sous la pluie.

    Qu’importe la flaque
    les deux pieds dedans
    pas à deux gouttes près.

    Fille en maillot de bain
    croisée en vélo sur le chemin
    pas gênée par la pluie.

    Avec la marée haute
    la pluie devait cesser
    elle a redoublé.

  6. C’est signé « Matou poète » ?
    Franville

  7. Matou cet été a passé son temps à faire des Haïkus, des photos, et à se reposer, dans un même élan. Tout ici est donc lié.
    Hélas l’été est déjà loin.

  8. Le public s’habitue, il en redemande, il va falloir tenir dans la durée Matou !

  9. C’est gentil, merci Hervé.
    En même temps, la question n’est pas que le public s’habitue mais de savoir s’il aime.

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