Ensemble Nomos, Couvent de la Tourette, 15 Mars 2009.




Yvap

Musicien, barbu grisonnant, ça s'impose ici ! 😉 Parisien, me remet à la photo après 30 ans de pause. Pour les fanas de technique : Argentique Minolta SRT-101, XGM. X300s, actuellement XD7 et XD5. 21, 28, 35, 58, 100, 200 mm. Actuellement 24, 45, 85 mm. Scan des négatifs, puis traitement avec CS2. mail : cl.pavy"AT"yvap.net
9 Commentaires
  1. En fait ce que j’aime bien dans cette image, c’est le personnage sur la droite qui lit étrangement sa partition… il me semble en décalage par rapport aux autres (il me donne l’impression de découvrir un “truc” qui le surprend). Sinon peut-être un petit peu trop de vide en bas à gauche … mais elle me plait bien quand même 😉

  2. j’aime bien, Yvap quand tu nous amènes en tournée avec toi 😉

  3. Ce vide du 1° plan évoque un désir de discrétion de !.la part du photographe

  4. Merci à vous.
    @ françois47 : plutôt montrer la “distance” qui s’installe entre l’extérieur et “le monde” dans lequel rentre celui qui se prépare à sa prestation.
    Donc pour moi guinealeo ce vide est indispensable ! Ici la salle qui servait de loge permettait grâce à sa taille de le visualiser, ce qui est rarement le cas, les loges étant le plus souvent exigües. 😉

  5. Cette photo est bien dans le vif du sujet, l’ultime instant avant d’entrer en scène.

  6. Cette image évoque le trac dans toute sa splendeur nécessaire, extrêmement concentré, déjà dans le bulle de la prestation. Le vide devant accentue cette impression.

  7. Un peu trop de vide a mon avis aussi au premier plan, mais j’aime beaucoup l’ambiance de cette photo, l’attitude des musiciens.

  8. Le “vide” m’a gênée au début, mais revenant à la photo à plusieurs reprises, j’ai été comme apprivoisée par la distance, étrange sensation, il s’est peu à peu imposé et donne à la scène sa juste dimension.

  9. Merci Sister !
    C’est bien ça ! J’ai absolument voulu ce vide de premier plan, il s’est imposé à la prise de vue (j’avais le temps de choisir mon cadrage), plus centraux les personnages étaient banals, sans “présence” … paradoxalement c’est ce vide et les lignes du sol qui la leur procure en convergeant vers eux ! 😉

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