Au contraire des Cubains, les Antillais n’aiment pas trop être photographiés. Ayant pris cette photo à la sauvette, je n’ai aperçu son regard peu amène qu’à la lecture de la photo, une fois la “lumière d’appoint”  braquée sous son chapeau.  Grâce à ce chapeau (et à la distance ; quoique, dans notre village mondial..) peu de chances qu’elle soit reconnue et son “droit à l’image” est sauf…




Christian B.

Juriste aimant les images
7 Commentaires
  1. Pour une photo prise à la sauvette, pas mal !
    A mon avis un seul petit détail me semblerait bon d’être corrigé : la partie surex de la robe.

  2. elle aurait plus d’interêt si elle avait été photographiée dans un contexte plus large, non ?
    qu’en penses tu ?

  3. @Bernius : exact, cependant je ne suis pas parvenu à faire mieux, vu la différence d’exposition avec le visage (mais je ne travaille qu’avec lightroom, sans retouche locale..)
    @FloG : j’aurais perdu sa moue maussade, non ? Mais de toute façon, les ‘à-côtés’ de la photo étaient d’une laide banalité (une quelconque rue commerçante de la bourgade Le Moule, en Guadeloupe).

    Merci pour vos commentaires.

  4. quelque fois la banalité est intéressante.. beaucoup plus que le sensationnel.. 😉

  5. En effet Flo a raison, et dans une situation comme celle-ci c’est bien le décor et sa banalité qui donne la “présence” aux personnages et les mets en valeur par opposition, le couper va (à mon avis) à l’encontre du but recherché.

  6. Ou la recadrer plus serré pour en faire un portrait et mettre en avant sa moue boudeuse… mais c’est vrai que là on a un peu le “cul entre deux chaise” 🙂 à mon avis.

  7. J’ai vu que lightroom 2 permettait la retouche localisée.

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