Lucie sur 19 janvier 2009 à 22h35 A défaut de flick’r je me régale sur LVEG! Bien vue cette image. Et vous retransmettez bien l’atmosphère de vos voyages, comme si votre appareil photo était la continuité de votre esprit.
frederic.brichau sur 20 janvier 2009 à 20h29 ça me donne envie d’y retourner… On sent le poid de la chaleur. Je lui reprocherais (c’est politique 😉 ) un style un peu trop américain dans sa construction.
Loïs sur 20 janvier 2009 à 20h48 Lucie a raison à propos de flic’Grrrree. On n’a pas forcément envie de s’inscrire. Heureusement, tu n’es pas avare de tes publications ici. j’apprécie beaucoup les décentrements du regard tout au long de cette série cubaine.On ressent un regard indirect, furtif, inquiet d’être surpris. Celà correspond-t-il à une volonté de ta part?Ou à une nécessité pour photographier à Cuba? Peux tu préciser? Merci.
spirithom sur 21 janvier 2009 à 2h19 Merci pour vos commentaires. @Loïs : je ne sais trop quoi répondre sans redire ce qui j’ai pu déjà dire dans des posts postérieurs. “furtif” sans doute pour les images prises d’un véhicule roulant, “indirect” : je pense pas, je cherche toujours (disons la plupart du temps) le contact avec la personne photographiée et je ne suis pas partisan ni du “leica”, ni du téléobjectif (en disant ça je ne voudrais pas ouvrir une discussion pour ou contre à ce sujet), “inquiet d’être surpris” c’est joli mais je ne comprends pas ! Sinon j’y suis allez sans idée préconçue, ouvert et donc “sans volonté”. Si “une nécessité pour photographier à Cuba” se réfaire à “indirect, furtif” je dirais non : la plupart des personnes sont contentes d’être photographié et si ce n’est pas le cas, après une petite discussion, répondent positivement malgrès mon espagnol très limité. Je ne suis pas sûr de répondre correctement à tes questions, si ce n’est que je sens un décalage avec ma façon de faire et la façon qu’on les reçoit, mais ça fait parti du jeu. Enfin, si la joie et la chaleur cubaine est bien une réalité, il n’en est pas moins vrai qu’on ressent une certaine “tristesse” sur cette île, dû en parti aux difficultés économiques que subissent les habitants et qu’une partie des mes images traite peut être (difficile d’être sûr à propos d’une “oeuvre” en court d’élaboration) de cela avec la part de subjectivité qu’est la mienne. Je serais ravi de reprendre cette discussion en lors d’une rencontre lveg ultérieure que Philippe ne manquera pas d’organiser un de ces jours.
flo g sur 21 janvier 2009 à 10h26 je ne sens, contrairement à Loïs, aucun regard indirect, ni furtif dans tes photos.. mais plutôt un bon sens du cadrage, comme dans celle ci par ex, où la pancarte (?), et la barre de nuages sombres forment une ouverture toute naturelle à la route et au paysage.. D’autre part, on sent une approche naturelle de tes personnages, chaleur, et une certaine tristesse, effectivement, dans ce que tu nous montres.. dommage que flickr soit aussi compliqué !! 😉
spirithom sur 21 janvier 2009 à 12h14 @flo g : il s’agit d’une carte routière de l’île. @ lucie, lois, flo g : flickr est le symbole de ces mystères informatiques que le monde moderne nous offre de plus en plus : impression que c’est la machine qui décide et non l’Homme. Bien que ce soit le site le plus utilisé par les photographes, je n’en ferais pas la réclame.
Yvap sur 21 janvier 2009 à 15h48 Comme flo … et j’aime beaucoup ! (y compris pour flickr, sans parler du fond blanc éblouissant qui bousille pas mal de photos !)
Loïs sur 21 janvier 2009 à 19h53 Merci pour cette longue réponse d’autant que “tu parles plus facilement par l’image que par les mots”. (je te cite). A +.
A défaut de flick’r je me régale sur LVEG! Bien vue cette image. Et vous retransmettez bien l’atmosphère de vos voyages, comme si votre appareil photo était la continuité de votre esprit.
Oui, joli point de vue, ça ferait une belle couverture !
ça me donne envie d’y retourner… On sent le poid de la chaleur.
Je lui reprocherais (c’est politique 😉 ) un style un peu trop américain dans sa construction.
Lucie a raison à propos de flic’Grrrree. On n’a pas
forcément envie de s’inscrire.
Heureusement, tu n’es pas avare de tes publications ici.
j’apprécie beaucoup les décentrements du regard tout au long de cette série cubaine.On ressent un regard indirect, furtif, inquiet d’être surpris.
Celà correspond-t-il à une volonté de ta part?Ou à une nécessité pour photographier à Cuba?
Peux tu préciser? Merci.
Merci pour vos commentaires.
@Loïs : je ne sais trop quoi répondre sans redire ce qui j’ai pu déjà dire dans des posts postérieurs.
“furtif” sans doute pour les images prises d’un véhicule roulant, “indirect” : je pense pas, je cherche toujours (disons la plupart du temps) le contact avec la personne photographiée et je ne suis pas partisan ni du “leica”, ni du téléobjectif (en disant ça je ne voudrais pas ouvrir une discussion pour ou contre à ce sujet), “inquiet d’être surpris” c’est joli mais je ne comprends pas !
Sinon j’y suis allez sans idée préconçue, ouvert et donc “sans volonté”.
Si “une nécessité pour photographier à Cuba” se réfaire à “indirect, furtif” je dirais non : la plupart des personnes sont contentes d’être photographié et si ce n’est pas le cas, après une petite discussion, répondent positivement malgrès mon espagnol très limité.
Je ne suis pas sûr de répondre correctement à tes questions, si ce n’est que je sens un décalage avec ma façon de faire et la façon qu’on les reçoit, mais ça fait parti du jeu.
Enfin, si la joie et la chaleur cubaine est bien une réalité, il n’en est pas moins vrai qu’on ressent une certaine “tristesse” sur cette île, dû en parti aux difficultés économiques que subissent les habitants et qu’une partie des mes images traite peut être (difficile d’être sûr à propos d’une “oeuvre” en court d’élaboration) de cela avec la part de subjectivité qu’est la mienne.
Je serais ravi de reprendre cette discussion en lors d’une rencontre lveg ultérieure que Philippe ne manquera pas d’organiser un de ces jours.
je ne sens, contrairement à Loïs, aucun regard indirect, ni furtif dans tes photos.. mais plutôt un bon sens du cadrage, comme dans celle ci par ex, où la pancarte (?), et la barre de nuages sombres forment une ouverture toute naturelle à la route et au paysage..
D’autre part, on sent une approche naturelle de tes personnages, chaleur, et une certaine tristesse, effectivement, dans ce que tu nous montres..
dommage que flickr soit aussi compliqué !! 😉
@flo g : il s’agit d’une carte routière de l’île.
@ lucie, lois, flo g : flickr est le symbole de ces mystères informatiques que le monde moderne nous offre de plus en plus : impression que c’est la machine qui décide et non l’Homme. Bien que ce soit le site le plus utilisé par les photographes, je n’en ferais pas la réclame.
Comme flo … et j’aime beaucoup !
(y compris pour flickr, sans parler du fond blanc éblouissant qui bousille pas mal de photos !)
Merci pour cette longue réponse d’autant que “tu parles plus facilement par l’image que par les mots”.
(je te cite). A +.