…à l’époque de son “heure de gloire”, quand, craint de tous, il faisait régner impunément la terreur. On devine peu à peu qu’il a commis des actes abominables. De cette puissance passée, il ne reste plus rien, qu’une insoutenable amertume…




Olivier R.

A propos de moi... Je vis au Havre, j'aime la photographie contemporaine sans oublier celle qui fut à l'origine de mon intéret pour l'image. Si ce n'est pas clair pour vous, sachez que ça l'est encore moins pour moi. Mon espace photographie... Andreas Seranno, James Natchwey, Michel Comte, Jeanloup sieff, Hiroshi Osaka, David Lynch et bien sûr Portishead.
4 Commentaires
  1. J’ai du mal avec ce montage.
    Autant le précédent Faces #1 peut se justifier, ici je ne comprends pas l’intérêt, ni la cohérence, tant au niveau des formats, des textures que des expressions et cadrages.

  2. Je comprends ton sentiment. Le personnage d’Oliver Rohe est ambigu et on ne perçoit sa monstruosité que partiellement et progressivement. Il fallait sur l’ensemble des polyptiques des choses posées et d’autres plus en lâcher prise.

  3. Ce montage est la suite, le complément parfait du précédent !
    Bravo Tinange.

  4. idem Yvap.. 😉 si le personnage triture sa mémoire, et revient sur ses actes, plutôt cruels et même barbares, comme nous l’explique tinange, la série au contraire ne doit pas être toujours linéaire, mais saccadée, comme peuvent l’être des souvenirs qui remontent en soi, de façon violente et parfois inattendue..
    C’est trés dur de faire parler une série photographique, uniquement sur les expressions d’un visage..
    moi aussi, je dis bravo.. 😉

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