Estienne sur 5 septembre 2018 à 8h17 J’aime beaucoup la texture et le traitement du premier plan mais le ciel vide gâche un peu l’image …
Matoufilou sur 5 septembre 2018 à 10h51 Le ciel, les deux femmes n’apportent rien sur le fond, c’est vrai, sinon une réponse visuelle aux deux blocs du bas. Je voyais un dialogue entre les deux personnages et les deux pierres et entre le blanc du haut et le blanc du bas. J’ose la formule : si j’enlève le haut, le bas est moins parlant.
Matoufilou sur 7 septembre 2018 à 8h37 @ Jean : Je crois qu’en matière de réchauffement climatique on est plus prêt désormais de Prométhée que de Sisyphe, non ?
brigitte david sur 14 septembre 2018 à 7h37 Il y a deux femmes ? Je pensais qu’il s’agissait d’un collage de la même?… Les pastèques du premier pan n’apportent pas grand chose et le titre est aussi approximatif que mystérieux!
Matoufilou sur 14 septembre 2018 à 12h40 La grande forme, Brigitte ! Quant à la thématique, elle renvoyait à tes propres travaux antérieurs sur les falaises et leur désagrégation. La falaise est peu spectaculaire (Saint-Colomban, à Carnac) mais le travail de sape de la houle encore plus rapide et efficace.
brigitte david sur 14 septembre 2018 à 16h15 Ca ne m’explique pas la présence des jumelles… Des DEUX jumelles comme on dit pour se persuader…
Matoufilou sur 15 septembre 2018 à 16h27 Comme expliqué plus haut, le couple de “jumelles” répondait au couple de “pastèques”. Mais bon, j’entends que tu n’aimes ni les unes ni les autres, pas de souci.
brigitte david sur 18 septembre 2018 à 10h59 Erreur Matoufilou… Les pastèques détournent l’attention des personnages, pour le moins énigmatiques!… 🙂
Étranges personnages !
J’aime beaucoup la texture et le traitement du premier plan mais le ciel vide gâche un peu l’image …
Le ciel, les deux femmes n’apportent rien sur le fond, c’est vrai, sinon une réponse visuelle aux deux blocs du bas. Je voyais un dialogue entre les deux personnages et les deux pierres et entre le blanc du haut et le blanc du bas.
J’ose la formule : si j’enlève le haut, le bas est moins parlant.
C’est bien comme ça que je l’avais compris
Ou le mythe de Sisyphe.
@ Jean : Je crois qu’en matière de réchauffement climatique on est plus prêt désormais de Prométhée que de Sisyphe, non ?
Plus près de.
Oui, d’ailleurs les cailloux restent en bas ! 😉
Il y a deux femmes ? Je pensais qu’il s’agissait d’un collage de la même?…
Les pastèques du premier pan n’apportent pas grand chose et le titre est aussi approximatif que mystérieux!
La grande forme, Brigitte ! Quant à la thématique, elle renvoyait à tes propres travaux antérieurs sur les falaises et leur désagrégation. La falaise est peu spectaculaire (Saint-Colomban, à Carnac) mais le travail de sape de la houle encore plus rapide et efficace.
Ca ne m’explique pas la présence des jumelles… Des DEUX jumelles comme on dit pour se persuader…
Comme expliqué plus haut, le couple de “jumelles” répondait au couple de “pastèques”. Mais bon, j’entends que tu n’aimes ni les unes ni les autres, pas de souci.
Erreur Matoufilou… Les pastèques détournent l’attention des personnages, pour le moins énigmatiques!…
🙂