JLB sur 3 mai 2017 à 16h29 Une première impression très déstabilisante, on se perd entre l’avant et l’arrière, le haut et le bas, la réalité et le reflet. Tout (ou presque) s’explique après avoir vu une photo de l’oeuvre sur le site du ccc od. L’oeuvre me rappelle les “pierres de lait” de Wolfgang Laib. Les reflets dus à l’huile noire doivent être un régal pour le photographe. Le plus intéressant est la manière dont le rectangle vertical s’incruste dans l’image, au premier regard, on pense à un montage.
Monsieur HR sur 3 mai 2017 à 16h55 Bien décrypté ! Je suis effectivement resté un bon moment à prendre des photos de cette installation, mais mes résultats sont, en fait, assez décevants. En tout cas, merci de m’avoir fait découvrir Wolfgang Laib.
Estienne sur 4 mai 2017 à 12h56 J’aime beaucoup ces jeux de reflets où on ne sait plus ce qui tient du reflet simple ou du reflet de reflet, et on se demande si notre train qui bouge ou celui d’à coté ! Je regrette juste cette censure qui ne dit pas son nom et qui cache notre syndicaliste chenu déguisé en photographe ! Superbe image !
Estienne sur 6 mai 2017 à 8h00 Je ne comprenais pas bien certaines délimitations, certains reflets mais après avoir suivi les traces de JLB sur le site du CCCOD, le décryptage a réussi : j’ai le CCcode ! Compte tenu de la situation, excellente image !!!
JLB sur 6 mai 2017 à 17h36 Soulignons le mérite du photographe qui paye de sa personne en se laissant mettre en sandwich entre des strates d’incertitudes. 🙂
Une première impression très déstabilisante, on se perd entre l’avant et l’arrière, le haut et le bas, la réalité et le reflet. Tout (ou presque) s’explique après avoir vu une photo de l’oeuvre sur le site du ccc od. L’oeuvre me rappelle les “pierres de lait” de Wolfgang Laib. Les reflets dus à l’huile noire doivent être un régal pour le photographe. Le plus intéressant est la manière dont le rectangle vertical s’incruste dans l’image, au premier regard, on pense à un montage.
Bien décrypté !
Je suis effectivement resté un bon moment à prendre des photos de cette installation, mais mes résultats sont, en fait, assez décevants.
En tout cas, merci de m’avoir fait découvrir Wolfgang Laib.
J’aime beaucoup ces jeux de reflets où on ne sait plus ce qui tient du reflet simple ou du reflet de reflet, et on se demande si notre train qui bouge ou celui d’à coté ! Je regrette juste cette censure qui ne dit pas son nom et qui cache notre syndicaliste chenu déguisé en photographe ! Superbe image !
Merci Estienne, j’ai bien ri.
Je ne comprenais pas bien certaines délimitations, certains reflets mais après avoir suivi les traces de JLB sur le site du CCCOD, le décryptage a réussi : j’ai le CCcode ! Compte tenu de la situation, excellente image !!!
Soulignons le mérite du photographe qui paye de sa personne en se laissant mettre en sandwich entre des strates d’incertitudes. 🙂
Mis en sandwich et mis en boîte qui plus est !