7 Commentaires
  1. Et oui, les mouettes ne se font pas pigeonner.

  2. Boutons blanc comme sur un gilet d’Agnès B.

  3. étrange stratégie volatile … et surtout on ne se mélange pas! L’avantage: ça nous donne une belle partition de noires et de blanches qui sinue entre la géométrie de la base des arbres, et les gris doux et incertains des reflets. Une image inhabituelle devant laquelle on a envie de s’arrêter et de prendre son temps.

  4. @JLB. Un petit texte !là amputé) qui va dans le même sens.
    “Elle regarde les zèbres, gnous et autres watusis éviter la rencontre dans la savane africaine reconstituée. La coexistence repose sur l’ignorance royale de l’autre. (…) Ce qui marche le mieux, finalement, c’est l’indifférence. ”
    @François Cardi. Curieuse la référence à Agnès B. S’il m’est arrivé de porter quelques unes de ses tenues de combat- et pas son fameux cardigan – ce n’est pas à elle que je faisais allusion, mais à un arrière grand-père, pêcheur d’Islande, fin observateur de la météo dit la légende – qui disait que quand les mouettes revenaient vers les terres c’était le signe avant-coureur de très grands froids. A Lyon on en voit toute l’année mais j’y pense toujours!

  5. Ce que j’aime dans cette photo c’est quand même l’intervalle régulier entre les mouettes. Suffisant pour le d’amplitude des ailes déployées?…

  6. Notions d’indifférence et d’espace vital illustrées par la gente plumée. Cadrage étonnant et dispositif (et disposition) de même : très bien vu et bien fait !

  7. Une cocasse partie de jeu de Go. Bien vu, finement observé, mais je n’aurai sans doute cadré que la partie gauche, dès lors que la partie droite semble superflue et géne presque la lisibilité de l’image.

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