OlivMo sur 5 juillet 2016 à 12h03 Manque plus que quelques oiseaux perchés pour chanter la partition. Belle atmosphère !
Estienne sur 5 juillet 2016 à 13h49 “J’écrivais des silences, des nuits, je notais l’inexprimable. Je fixais des vertiges …” J’aime cette portée silencieuse. (la citation est de Rimbaud !)
Une ronde qui s’est échappée de sa portée.
Belle lumière.
Manque plus que quelques oiseaux perchés pour chanter la partition.
Belle atmosphère !
“J’écrivais des silences, des nuits, je notais l’inexprimable. Je fixais des vertiges …” J’aime cette portée silencieuse. (la citation est de Rimbaud !)
Ciel rose des soirs d’été…
Anonyme? BD…
La beauté contamine ce qui la masque !