Monsieur HR sur 30 mai 2016 à 21h39 Le Makila est un bâton de défense utilisé par les basques. Il contient une lame cachée dans le pommeau de la tête du bâton que l’on peut dévisser pour utiliser l’arme. https://fr.wikipedia.org/wiki/Makila A suivre.
Estienne sur 31 mai 2016 à 7h46 La première impression est la même que devant un jeu de tuyaux d’orgue : perspective, alignement, tailles différentes … mais on est sur du bois. J’ai fait mon paresseux alors que la solution est sur le clavier de l’ordi … je m’endormirai plus instruit ce soir ! Après avoir lu l’explication, je suis curieux de voir la suite de cette série !
Monsieur HR sur 31 mai 2016 à 10h47 PS, tu comprendras mieux la présence du marteau (même si il n’est peut être pas à sa place) dans la suite de la série.
Jean Fraipont sur 31 mai 2016 à 15h42 Les ondulations décoratives qui longent les branches sont impressionnantes !
aliximm sur 31 mai 2016 à 21h01 Heureusement que c’est du bois de néflier. C’eût été des fruits, j’aurais alors pensé : “des nèfles pour le marteau ! … Mais où est cachée la faucille ? ” Toute ressemblance avec des faits existants ou ayant existé est purement fortuite. 😉
Monsieur HR sur 31 mai 2016 à 21h07 Merci Aliximm de relancer sur le néflier. L’artisan que j’ai rencontré a une convention avec l’ONF qui élève ses arbres, ce qui lui permet de choisir les branches les plus adaptées quelques années à l’avance et de les scarifier quelques mois avant leur coupe pendant l’hiver. Ensuite, les caractéristiques de la branche sont ajustées à celles du commanditaire.
OlivMo sur 1 juin 2016 à 7h48 Tout est en place pour une volée de bois verts…. 🙂 Bon ben j’attends aussi la suite, le sujet bien amené aiguise ma curiosité.
adrien pairraud sur 1 juin 2016 à 7h56 photo de travail artisanal qui promet de belles choses tant l’objet final met en jeu de matériaux nobles.
Monsieur HR sur 1 juin 2016 à 11h08 Bon, vous me mettez la pression, je l’ai bien cherché, j’espère ne pas trop vous décevoir.
JMLG sur 1 juin 2016 à 12h37 Monsieur HR, la pression il est préférable de la boire. Epicétou… D’aucuns vont imaginer que ce serait en quelque sorte votre autoportrait. Celui du gars un peu marteau… Enfin, et quand bien même je préfère vos photos “humaines” et/ou “humanistes”, vous donnez un peu de vie à ce blog qui en manque cruellement, j’apprécie tout ce qui s’inscrit dans une série…
Monsieur HR sur 1 juin 2016 à 18h24 Brigitte, le marteau parce que nous sommes dans un atelier où l’on travaille les bois, le cuir et le métal et que le marteau, peut être mal rangé y a forcément sa place. JM Merci pour la suggestion, je appliquerai à l’observer.Merci également pour ce qui concerne l’autoportrait, ça me plait bien. Cette série, réalisée à partir d’une rencontre, est à mon sens assez humaniste. Même si aucun visage n’y apparaîtra (la rencontre était un peu trop brève pour que je m’y autorise), les mains et les traces du travail me semblent, ici, témoigner de l’humain. C’est de l’humanisme indirect.
Késako le makila ?
Le Makila est un bâton de défense utilisé par les basques. Il contient une lame cachée dans le pommeau de la tête du bâton que l’on peut dévisser pour utiliser l’arme. https://fr.wikipedia.org/wiki/Makila
A suivre.
je ne comprends pas trop la présence du marteau…;-)
La première impression est la même que devant un jeu de tuyaux d’orgue : perspective, alignement, tailles différentes … mais on est sur du bois. J’ai fait mon paresseux alors que la solution est sur le clavier de l’ordi … je m’endormirai plus instruit ce soir ! Après avoir lu l’explication, je suis curieux de voir la suite de cette série !
PS, tu comprendras mieux la présence du marteau (même si il n’est peut être pas à sa place) dans la suite de la série.
ok…j’attends donc avec impatience…;-)
Les ondulations décoratives qui longent les branches sont impressionnantes !
Heureusement que c’est du bois de néflier. C’eût été des fruits, j’aurais alors pensé : “des nèfles pour le marteau ! … Mais où est cachée la faucille ? ”
Toute ressemblance avec des faits existants ou ayant existé est purement fortuite. 😉
Merci Aliximm de relancer sur le néflier. L’artisan que j’ai rencontré a une convention avec l’ONF qui élève ses arbres, ce qui lui permet de choisir les branches les plus adaptées quelques années à l’avance et de les scarifier quelques mois avant leur coupe pendant l’hiver. Ensuite, les caractéristiques de la branche sont ajustées à celles du commanditaire.
@Monsieur HR : du bel ouvrage peut-on dire !
Tout est en place pour une volée de bois verts…. 🙂
Bon ben j’attends aussi la suite, le sujet bien amené aiguise ma curiosité.
photo de travail artisanal qui promet de belles choses tant l’objet final met en jeu de matériaux nobles.
Le marteau nous incite à être du côté du manche.
Comme Blagapart … ce marteau semble être une invitation à agir…
Bon, vous me mettez la pression, je l’ai bien cherché, j’espère ne pas trop vous décevoir.
Si la lame est dans le fruit pourquoi le marteau?
Monsieur HR, la pression il est préférable de la boire. Epicétou…
D’aucuns vont imaginer que ce serait en quelque sorte votre autoportrait. Celui du gars un peu marteau…
Enfin, et quand bien même je préfère vos photos “humaines” et/ou “humanistes”, vous donnez un peu de vie à ce blog qui en manque cruellement, j’apprécie tout ce qui s’inscrit dans une série…
Brigitte, le marteau parce que nous sommes dans un atelier où l’on travaille les bois, le cuir et le métal et que le marteau, peut être mal rangé y a forcément sa place.
JM Merci pour la suggestion, je appliquerai à l’observer.Merci également pour ce qui concerne l’autoportrait, ça me plait bien.
Cette série, réalisée à partir d’une rencontre, est à mon sens assez humaniste. Même si aucun visage n’y apparaîtra (la rencontre était un peu trop brève pour que je m’y autorise), les mains et les traces du travail me semblent, ici, témoigner de l’humain. C’est de l’humanisme indirect.