Monsieur HR sur 14 avril 2016 à 20h48 A quinze ans finie la belle vie T’es plus un môme t’es plus un p’tit J’me r’trouve les deux mains dans l’pétrole A frotter des pièces de bagnoles Neuf dix heures dans un atelier Ça vous épanoui la jeunesse Ça vous arrange même la santé Pour le monde on a d’la tendresse {au Refrain}
Estienne sur 14 avril 2016 à 21h02 J’aime bien le cadre, le cadrage, le masque relevé du soudeur, l’établi qui cherche à lui voler la vedette et ceci malgré ou à cause du flou ! Elle ne me semble pas très jeune, cette photo …
Monsieur HR sur 14 avril 2016 à 21h06 Merci Estienne. C’est vrai que l’établi, comme son bleu d’ailleurs, semble un peu trop grand pour lui. Cette photo a du être prise il y a environ 8 ans au moment où je débutais le numérique. Le flou est du à une vitesse assez lente et finalement ça lui va bien.
JMLG sur 15 avril 2016 à 6h10 Bonjour, Le “flou de bougé” du photographe ? J’aime beaucoup ces portraits “mémoriels” et militants de la condition humaine. A souligner le “regard” de l’étau à droite. Belle journée et à bientôt.
maria sur 15 avril 2016 à 9h27 Une photographie comme je les aime, une “connivence”, une espèce d’ entente entre le sujet photographié et le photographe. De beaux noirs-gris-blancs, une photographie loin du tape à l’ oeil, une image pleine d’ humanité, une rencontre, et puis … Mais zut alors ! le com de JMLG au dessus reprend ce que j’ aurais voulu dire.
CASA sur 15 avril 2016 à 10h37 bonjour, si je trouvais la précédente, Et voila le travail madame le ministre, un peu sombre, un brin confuse à lire, celle-ci par son point de vue, son flou, révèle une belle part d’humanité. Bref la composition, le regard, le geste, les trois ensembles font l’alchimie d’une belle photo.
JLB sur 15 avril 2016 à 10h53 Une préférence pour la précédente, mieux composée à mes yeux, mais celle-ci est intéressante aussi. Ce que je constate surtout c’est que les machines et les objets ont une présence équivalente à celle du travailleur (comme cet étau à l’allure vaguement anthropomorphique de droite), comme si l’ouvrier et son travail ne faisaient qu’un.
OlivMo sur 15 avril 2016 à 11h26 J’aime la première mais celle-ci est encore mieux, je ne sais si c’est le flou…. mais non, c’est ce regard cette visière relevée d’un jeune chevalier des temps plus tout à fait moderne qui apprend son métier sur le tas avec les conseils des anciens… Bref elle raconte encore plus, je trouve, cette humanité du monde du travail loin de la finance et autres… Bref, j’la kiffe ! 🙂
Monsieur HR sur 15 avril 2016 à 11h56 JMLG, merci, le regard de l’étau m’avait totalement échappé. Pour synthétiser vos propos, celle ci est peut être techniquement moins réussie mais plus riche humainement parlant. Sûrement parce que cette fois ci le jeune apprenti relève la tête et que son regard peut nous toucher. Comme quoi, il faut toujours relever la tête !
JMLG sur 15 avril 2016 à 12h18 Marie, Voilà ce qui arrive quand on ne se lève pas dès potron-minet… Bref, sur ce coup là , tu as un tram de retard !!!
JeF sur 15 avril 2016 à 16h30 Belle photo, beau portrait du travail ; “tout ça, c’est du boulot”, comme chanteraient les Têtes Raides…
Patrick Hirtz sur 15 avril 2016 à 17h33 Belle photo que j’apprécie beaucoup pour les raisons soulignées par JMLG et parcequ’elle illustre avec bonheur par ailleurs le couplet cité de cette belle chanson de François Béranger qu’est “Tranche de vie ” …
Monsieur HR sur 15 avril 2016 à 17h56 D’accord Patrick, ça me fait toujours quelque chose quand j’entends cette chanson. Le commentaire de Jef m’incite à tendre l’oreille vers les Têtes raides que je ne connais pas très bien.
Jean Fraipont sur 15 avril 2016 à 22h20 Un regard étonné, surpris que son travail intéresse quelqu’un. A ce stade là , le flou devient une qualité de l’expression et n’est plus un problème technique.
A quinze ans finie la belle vie
T’es plus un môme t’es plus un p’tit
J’me r’trouve les deux mains dans l’pétrole
A frotter des pièces de bagnoles
Neuf dix heures dans un atelier
Ça vous épanoui la jeunesse
Ça vous arrange même la santé
Pour le monde on a d’la tendresse
{au Refrain}
J’aime bien le cadre, le cadrage, le masque relevé du soudeur, l’établi qui cherche à lui voler la vedette et ceci malgré ou à cause du flou ! Elle ne me semble pas très jeune, cette photo …
Merci Estienne. C’est vrai que l’établi, comme son bleu d’ailleurs, semble un peu trop grand pour lui.
Cette photo a du être prise il y a environ 8 ans au moment où je débutais le numérique. Le flou est du à une vitesse assez lente et finalement ça lui va bien.
Bonjour,
Le “flou de bougé” du photographe ?
J’aime beaucoup ces portraits “mémoriels” et militants de la condition humaine.
A souligner le “regard” de l’étau à droite.
Belle journée et à bientôt.
Une photographie comme je les aime, une “connivence”, une espèce d’ entente entre le sujet photographié et le photographe. De beaux noirs-gris-blancs, une photographie loin du tape à l’ oeil, une image pleine d’ humanité, une rencontre,
et puis …
Mais zut alors ! le com de JMLG au dessus reprend ce que j’ aurais voulu dire.
bonjour,
si je trouvais la précédente, Et voila le travail madame le ministre, un peu sombre, un brin confuse à lire, celle-ci par son point de vue, son flou, révèle une belle part d’humanité.
Bref la composition, le regard, le geste, les trois ensembles font l’alchimie d’une belle photo.
Une préférence pour la précédente, mieux composée à mes yeux, mais celle-ci est intéressante aussi. Ce que je constate surtout c’est que les machines et les objets ont une présence équivalente à celle du travailleur (comme cet étau à l’allure vaguement anthropomorphique de droite), comme si l’ouvrier et son travail ne faisaient qu’un.
J’aime la première mais celle-ci est encore mieux, je ne sais si c’est le flou…. mais non, c’est ce regard cette visière relevée d’un jeune chevalier des temps plus tout à fait moderne qui apprend son métier sur le tas avec les conseils des anciens… Bref elle raconte encore plus, je trouve, cette humanité du monde du travail loin de la finance et autres… Bref, j’la kiffe ! 🙂
JMLG, merci, le regard de l’étau m’avait totalement échappé.
Pour synthétiser vos propos, celle ci est peut être techniquement moins réussie mais plus riche humainement parlant. Sûrement parce que cette fois ci le jeune apprenti relève la tête et que son regard peut nous toucher.
Comme quoi, il faut toujours relever la tête !
Marie,
Voilà ce qui arrive quand on ne se lève pas dès potron-minet… Bref, sur ce coup là , tu as un tram de retard !!!
Belle photo, beau portrait du travail ; “tout ça, c’est du boulot”, comme chanteraient les Têtes Raides…
Belle photo que j’apprécie beaucoup pour les raisons soulignées par JMLG et parcequ’elle illustre avec bonheur
par ailleurs le couplet cité de cette belle chanson de François Béranger qu’est “Tranche de vie ” …
D’accord Patrick, ça me fait toujours quelque chose quand j’entends cette chanson. Le commentaire de Jef m’incite à tendre l’oreille vers les Têtes raides que je ne connais pas très bien.
Un regard étonné, surpris que son travail intéresse quelqu’un. A ce stade là , le flou devient une qualité de l’expression et n’est plus un problème technique.
Très forte cette photo…;-)
JF Ca devait aussi lui donner un moment de répit.
PS merci