Monsieur HR

Né en 1949, habite Tours (37), retraité et syndicaliste Je dirais bien que j'aime mettre mon "grain de sel" mais cette expression est déjà utilisée (à bon escient) par un autre photographe sur le blog . Je pratique la photo en pointillé, de manière un peu erratique, sans véritable style personnel nettement défini, avec un petit goût pour le flou, souvent mal maîtrisé d'ailleurs J'éprouve un vrai plaisir à dialoguer sur le blog et je pense que ma pratique, notamment celle du post traitement informatique de la photo s'est améliorée grâce à ces échanges
11 Commentaires
  1. Et tu lui accordes une grande douceur à laquelle il a droit.

  2. Beau cadrage de ce regard d’enfant.

  3. Un beau carré et un beau portrait. Excellent usage du vignettage pour centrer le regard !

  4. Merci à vous trois. J’ai vignetté et j’ai également accentué le regard. C’était étonnant de ressentir le regard de ces enfants sur moi, comme s’ils cherchaient à m’accrocher. La scène se passe il y a 8 ou 9 ans. J’ai déjà publié quelques photos de cette série sur LVEG, j’en publierai encire une ou deux autres. A chaque fois il y ace genre de regard.

  5. Beau portrait!

  6. malgré des imperfections techniques mais il y a dix ans les capteurs étaient moins amoureux des ambiances sombres, ce portrait est particulièrement réussi, quelle intensité dans ce regard parfaitement “mis en scène”.

  7. M.HR. Rien dans cette photo ne dit qu’il est réfugié. Dire d’où il vient et comment il est venu, ça aiderait à la compréhension.

  8. Merci Adrien et Y
    Brigitte, je voulais précisément montrer qu’être réfugié ça ne se voyait pas sur le faciès. Un réfugié, ça ressemble à tout le monde, ça pourrait être tout le monde. Vous ou moi. Ça le sera peut être demain ?
    La scène se passe, il y a quelques années dans un hôtel réquisitionné du Loiret. Un groupe de demandeurs d’asile (une trentaine dont des enfants, des calmes et des turbulents) surtout en provenance des ex républiques soviétiques mais aussi d’ailleurs, est réuni dans un hall avec des bénévoles qui organisent le soutien. Ce sont ces derniers qui ont fait appel à moi pour faire des photos qui ont été utilisées à l’occasion de la fête qui a suivi.

  9. M.HR. Loin de moi l’idée du facies. Mais quand elle n’est pas dite il n’y a pas d’histoire. Et J’aime l’histoire des gens.

  10. Pas d’inquiétude Brigitte, je n’ai jamais songé que vous jugiez au faciès, je vous connais, je pense, suffisamment à travers vos photos et vos commentaires, pour vous savoir bien au dessus de tout ça. J’ai simplement utilisé le terme en référence à la condamnation dont l’État français vient d’être l’objet pour ses pratiques de contrôle des individus.
    Je comprends votre goût pour l’histoire des gens, j’y ai d’ailleurs répondu, mais ce n’était pas l’objet de cette photo plutôt symbolique.

  11. Belle image.

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