Monsieur HR sur 28 janvier 2016 à 15h39 Moussu, c’est l’impression que cette photo parvient à donner. Encore bravo !
JLB sur 28 janvier 2016 à 16h37 Distraction: j’avais oublié le “anos”. 800 ans, c’est l’âge estimé de ces “ancêtres lauriers” que l’on trouve parfois dans la laurisylve (source site unesco). Un âge ou le végétal s’apparente au minéral, ce que j’ai tenté de souligner ici.
brigitte david sur 28 janvier 2016 à 17h07 Très beau ce rapport au sol de ces très vieux arbres qui se divisent parfois en plusieurs souches , qui ont toujours l’air de renaître juste à côté… Découvert récemment le travail d’un photographe Alain Ceccaroli qui travaille sur ce sujet des vieux arbres…
Tristan. sur 28 janvier 2016 à 19h13 Inhabituel, ce traitement dense en noir chez toi 😉 Réussi, bien qu’un peu trop accentué à mon goût. Le cadrage me séduit moins, avec ce 1er plan (le “trou” du terrain) pas indispensable.
Estienne sur 28 janvier 2016 à 22h53 800 ans ! C’est vertigineux ! Moi aussi, j’ai du mal à lire cette émergence fantastique, je ne sais plus où est le sol, où est l’arbre, je ne sais plus où j’en suis, j’ai perdu le décompte et le vertige me reprend : merci de nous faire participer ainsi à ce voyage !
JLB sur 29 janvier 2016 à 10h14 Vos avis, même critiques, vont en fait dans le sens de mes intentions, assez différentes, il est vrai, de ma manière habituelle de traiter le monde végétal. Mon impression sur place, était que ce vieux tronc n’avait pas son autonomie mais semblait être une émanation, une excroissance du sol volcanique lui-même; comme si il était issu du même magma que son environnement. C’est ce qui a amené ce traitement de toute l’image, sol et tronc, avec la même densité de noir et une accentuation un peu forcée. Conséquence, ce manque de repère que vous soulignez JMP et Estienne. Ceci pour expliquer et non justifier.
JLB sur 29 janvier 2016 à 10h18 Brigitte: J’avais déjà vu les images d’Alain Ceccaroli (mais j’avais oublié son nom!). Ses oliviers millénaires photographiés de nuit en éclairage artificiel, sont assez fabuleux.
Estienne sur 29 janvier 2016 à 11h57 C’est bien ce mélange de sensations végétales et minérales que je ressens quand je regarde ton image et c’est ce foisonnement qui m’enchante !
Brigitte Ghilain sur 31 janvier 2016 à 17h47 Quand je regarde ce gros tronc, trapu, traité de cette manière, j’y vois une tête, aux yeux fortement ciliées et au nez généreux. Je pars dans un conte. Merci du voyage. 🙂
Tout se joue avec des nuances de gris. C’est superbe!
Moussu, c’est l’impression que cette photo parvient à donner. Encore bravo !
l’image est belle et étonnante!
Distraction: j’avais oublié le “anos”. 800 ans, c’est l’âge estimé de ces “ancêtres lauriers” que l’on trouve parfois dans la laurisylve (source site unesco). Un âge ou le végétal s’apparente au minéral, ce que j’ai tenté de souligner ici.
Magnifique !!!
Très beau ce rapport au sol de ces très vieux arbres qui se divisent parfois en plusieurs souches , qui ont toujours l’air de renaître juste à côté…
Découvert récemment le travail d’un photographe Alain Ceccaroli qui travaille sur ce sujet des vieux arbres…
Vraiment très très beau …
Inhabituel, ce traitement dense en noir chez toi 😉
Réussi, bien qu’un peu trop accentué à mon goût.
Le cadrage me séduit moins, avec ce 1er plan (le “trou” du terrain) pas indispensable.
Très beau
J’ai du mal à lire cette photo .
800 ans ! C’est vertigineux ! Moi aussi, j’ai du mal à lire cette émergence fantastique, je ne sais plus où est le sol, où est l’arbre, je ne sais plus où j’en suis, j’ai perdu le décompte et le vertige me reprend : merci de nous faire participer ainsi à ce voyage !
Vos avis, même critiques, vont en fait dans le sens de mes intentions, assez différentes, il est vrai, de ma manière habituelle de traiter le monde végétal. Mon impression sur place, était que ce vieux tronc n’avait pas son autonomie mais semblait être une émanation, une excroissance du sol volcanique lui-même; comme si il était issu du même magma que son environnement. C’est ce qui a amené ce traitement de toute l’image, sol et tronc, avec la même densité de noir et une accentuation un peu forcée. Conséquence, ce manque de repère que vous soulignez JMP et Estienne. Ceci pour expliquer et non justifier.
Brigitte: J’avais déjà vu les images d’Alain Ceccaroli (mais j’avais oublié son nom!). Ses oliviers millénaires photographiés de nuit en éclairage artificiel, sont assez fabuleux.
C’est bien ce mélange de sensations végétales et minérales que je ressens quand je regarde ton image et c’est ce foisonnement qui m’enchante !
Merci à tous pour ces commentaires.
Quand je regarde ce gros tronc, trapu, traité de cette manière, j’y vois une tête, aux yeux fortement ciliées et au nez généreux. Je pars dans un conte. Merci du voyage. 🙂