Quand l’hiver se termine, doucement les anémones pulsatilles pointent leur corolle.
Quelques poils les gardent bien au chaud. 😉
Bientôt, elles seront là. Celles-ci ont étés photographiées l’an dernier.




Brigitte Ghilain

Un peu d'information biographique, c'est dire que je suis une femme toujours émerveillée et contente de vivre chaque instant comme un cadeau. Et cadrer dans mon viseur est une de ces joies quotidiennes. Axée essentiellement sur la nature et la macro, cela m'arrive parfois d'être infidèle et de saisir le quotidien humain et urbain.
23 Commentaires
  1. Le langage des fleurs. Entre fiction et réalité. J’aime beaucoup, particulièrement votre traitement du fond dans chacune de vos photos. Ca vibre!

  2. une image toute en délicatesse
    bravo

  3. Dans l’attente des jours meilleurs, elles se préparent dans le cocon douillet que tu leur a préparé. J’aime.

  4. Beaucoup de délicatesse pour une belle image.

  5. En effet, que de douceur et de délicatesse !

  6. Et comme leur nom l’indique, ça vibre !

  7. En NB, c’est d’une infinie douceur. Ce n’est sûrement pas la même impression en couleurs.

  8. Très belle douceur des gris, un fond habillé toute en délicatesse, une profondeur de champ très bien ajustée mais un cadrage un peu trop central : j’aurai bien vu un peu plus d’espace à droite et au dessus, un peu moins en dessous. Mais une excellente base de travail et une très belle maîtrise de la macro. Quel objectif pour toute cette douceur ?

  9. Ouahh , je craque ! Superbe image, un peu à la manière des tapisseries d’antan. Au risque de me faire encore réprimer, je dirais que c’est très féminin ! ( mais on va me dire : c’est quoi , féminin, et alors , on n’est pas sortis de l’auberge …)
    😉

  10. Y a plus qu’à trouver le style qui fait très transgenre. Y a de l’avenir!

  11. La question la plus audacieuse que posent les filles aux garçons dans « Masculin -Féminin » c’est : « Vous couchez souvent avec des putains ? »
    Peu importe la réponse de Jean-Pierre Léaud qui accouche de ce constat : « Dans Masculin, il y a masque et il y a cul… »
    « Et dans Féminin ? » demande Madeleine-Chantal Goya… « Dans Féminin… Il n’y a rien…

    Alors dans transgenre Jean Fraipont?!…
    Au fait , on m’a appris récemment dans LVEG que je faisais “genre”… Si ça se trouve…
    🙂

  12. je m’étais essayé à ce sujet mais pas avec un tel brio … splendide !

    la botanique vous aide de très belle manière à combler les longues attentes de votre passion ornithologique.

    comme Estienne, je suis curieux de quelques secrets techniques, auriez-vous eu recours à une texture en post-prod ?

  13. @ Adrien : à voir l’image, ça m’étonnerait ! Je pense qu’on peut trouver dans des conditions favorables des flous de cette qualité dès la prise de vue …

  14. Ces pulsatilles ont quelque chose d’angélique ! Le hallo lumineux et duveteux peut être, mais aussi l’impression d’apesanteur et ce fond céleste. À partir de là, je ne me sens pas apte au débat sur le sexe des anges.

  15. Un grand merci pour vos passages.
    Je travaille essentiellement avec un 300mm f/4. Et j’ouvre en f/4 pour avoir un bockeh flou en arrière plan. Le sujet se détache mieux.
    Puis, faut jouer avec la lumière… 😉

    Il n’y a pas de “texture” en post-traitement. Je ne connais d’ailleurs pas cette méthode.

    @Estienne : oui pourquoi ne pas mettre de l’espace où tu dis… Ca permettrait aux fleurs d’ouvrir leur horizon.
    J’y penserai et j’essayerai cette année! 😉

  16. Pour ce qui est du genre…
    Je ne me sens pas apte, non plus (cfr JLB), à discuter de la part de yin et de yang qui ont déclenché la prise de ce cliché. 🙂

  17. euh…je sais pas quoi dire…c’est très beau…;-)

  18. Une très belle macro.
    Et oui vivement le printemps puisque la neige se fait désirer…

    Un autre haïku, qui en ces temps sombres , réchauffe un peu les cÅ“urs…

    Tous en ce monde
    sur la crête d’un enfer
    à contempler les fleurs!

    Issa

  19. Beau et délicat !

  20. Elles semblent un peu miraculées. C’est peut être cela qui les rend touchantes?

  21. @ Brigitte Ghilain : Oui, l’idée est bien celle-là ! Comme pour un portrait où on ouvre l’espace devant le regard …

  22. Un sentiment de dessin.

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