Jean Fraipont sur 22 décembre 2015 à 22h16 Triste sans être lugubre. Mélancolique plutôt avec un air rétro.
Monsieur HR sur 23 décembre 2015 à 9h49 Là , j’aime bien le cadrage et même le virage. Dans ce décor qui semble à l’abandon, ma passante a tout d’une survivante
Estienne sur 23 décembre 2015 à 10h18 Rétro : il est bien d’avant, ce bâtiment avec cette petite échoppe aux vantaux fermés sur des rayons vides envahis de toiles d’araignées … La passante est plus d’actualité mais elle est allée chercher bien loin ce qui existait avant juste là … peut-être … J’apprécie aussi la douceur de ce virage léger, juste pour ne pas frisonner dans l’humidité de ces vieux murs.
JLB sur 24 décembre 2015 à 7h54 Un point de vue frontal et un cadrage qui traduisent bien l’ambiance de ces villages délaissés, si nombreux dans certaines régions, je pense à l’Ariège par exemple.
brigitte david sur 27 décembre 2015 à 10h21 La photo est parfaite mais on aurait pu y tourner la Guerre des Boutons tellement elle a un côté suranné… Ca me donne envie de revoir Occupied… Ce décor contemporain débarrassé jusqu’à l’os de l’ennui du passé.
Triste sans être lugubre. Mélancolique plutôt avec un air rétro.
Là , j’aime bien le cadrage et même le virage.
Dans ce décor qui semble à l’abandon, ma passante a tout d’une survivante
Rétro : il est bien d’avant, ce bâtiment avec cette petite échoppe aux vantaux fermés sur des rayons vides envahis de toiles d’araignées …
La passante est plus d’actualité mais elle est allée chercher bien loin ce qui existait avant juste là … peut-être …
J’apprécie aussi la douceur de ce virage léger, juste pour ne pas frisonner dans l’humidité de ces vieux murs.
Un classique bien traité !
Un point de vue frontal et un cadrage qui traduisent bien l’ambiance de ces villages délaissés, si nombreux dans certaines régions, je pense à l’Ariège par exemple.
La photo est parfaite mais on aurait pu y tourner la Guerre des Boutons tellement elle a un côté suranné… Ca me donne envie de revoir Occupied… Ce décor contemporain débarrassé jusqu’à l’os de l’ennui du passé.