brigitte david sur 17 septembre 2015 à 9h37 Une logique d’ entrelacs où l’on se perd. Un amas de tôles – ou de fontes – très pictural.
Jean Fraipont sur 17 septembre 2015 à 10h43 Elles se croyaient invincibles, ces tôles et poutrelles avec leur épaisseur de blindage et leurs rivets. Elles finissent tordues, pliées et même explosées, et cicatrisées par la rouille dans un enchevêtrement inextricable. La mesure la plus exacte du temps qui passe dans une très belle variation de gris.
adrien pairraud sur 18 septembre 2015 à 8h53 Merci de vos retours, en particulier Jean dont je ne retire pas une virgule à l’analyse …. cliché pris chez un ferrailleur découvert récemment près de chez moi, vous risquez d’en voir passer d’autres !
Monsieur HR sur 18 septembre 2015 à 17h25 Merci de ces précisions Adrien, je pensais qu’il s’agissait du Gugenheim de Bilbao après la catastrophe.
Une logique d’ entrelacs où l’on se perd. Un amas de tôles – ou de fontes – très pictural.
Elles se croyaient invincibles, ces tôles et poutrelles avec leur épaisseur de blindage et leurs rivets. Elles finissent tordues, pliées et même explosées, et cicatrisées par la rouille dans un enchevêtrement inextricable.
La mesure la plus exacte du temps qui passe dans une très belle variation de gris.
Décidément “Pollockien” comme le dit si bien Mr HR !
Z’ont tout dit…
Merci de vos retours, en particulier Jean dont je ne retire pas une virgule à l’analyse …. cliché pris chez un ferrailleur découvert récemment près de chez moi, vous risquez d’en voir passer d’autres !
Merci de ces précisions Adrien, je pensais qu’il s’agissait du Gugenheim de Bilbao après la catastrophe.