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7 Commentaires
brigitte david
sur 25 août 2015 à 14h48
Le retour de Flore! Avec un sujet qui permet d’explorer le presque rien de la mémoire: un rude plancher, un rai de lumière, le calfeutrage d’une fenêtre…L’immobilité des choses ordinaires, figées dans un temps qui le dispute à la poussière…
Et on reprend l’exploration du château familial avec plaisir avec ces “presque rien” dont parle si bien Brigitte : j’entends craquer les lames du parquet et cela résonne dans le long couloir … j’aime beaucoup cette évocation.
Mais je ne suis pas emballé. Cette photo met à trop rude épreuve la dynamique des appareils photos, avec l’inclusion d’une fenêtre très éclairée et d’un couloir (?) sombre. Je crois que dans ces cas là, il faut choisir un camp : les hautes lumières ou les basses, sans demander le grand écart à l’appareil (qui a des limites inférieures à l’œil humain).
Personnellement, j’aurais choisi les basses, en excluant la fenêtre à gauche, et en sous-exposant pour garder du mystère vers le rai de lumière du fond. Il y a probablement quelques détails sombres à révéler qui auraient contribué à une atmosphère châtelaine…
Personnellement, ce couloir qui s’enfonce dans l’obscurité me convient très bien car là réside le mystère, l’angoisse, la question de l’inconnu. Il faut choisir, elle a choisi de garder la lumière et de renvoyer dans l’obscurité les mystères du couloir !
Plaisir de lire les coms des contributeurs de la Vie en gris…
En phase avec vos interprétations sensibles, merci. j’entends la critique argumentée de Tristan, même si c’est justement le carré de lumière à gauche qui m’a donné envie de shooter. A bientôt.
Le retour de Flore! Avec un sujet qui permet d’explorer le presque rien de la mémoire: un rude plancher, un rai de lumière, le calfeutrage d’une fenêtre…L’immobilité des choses ordinaires, figées dans un temps qui le dispute à la poussière…
Et on reprend l’exploration du château familial avec plaisir avec ces “presque rien” dont parle si bien Brigitte : j’entends craquer les lames du parquet et cela résonne dans le long couloir … j’aime beaucoup cette évocation.
Très jolie lumière !
Un monde enchanté à découvrir plus loin ou le monde des ténèbres ?
Une série ne meurt donc jamais ? Bon retour 🙂
Mais je ne suis pas emballé. Cette photo met à trop rude épreuve la dynamique des appareils photos, avec l’inclusion d’une fenêtre très éclairée et d’un couloir (?) sombre. Je crois que dans ces cas là, il faut choisir un camp : les hautes lumières ou les basses, sans demander le grand écart à l’appareil (qui a des limites inférieures à l’œil humain).
Personnellement, j’aurais choisi les basses, en excluant la fenêtre à gauche, et en sous-exposant pour garder du mystère vers le rai de lumière du fond. Il y a probablement quelques détails sombres à révéler qui auraient contribué à une atmosphère châtelaine…
Personnellement, ce couloir qui s’enfonce dans l’obscurité me convient très bien car là réside le mystère, l’angoisse, la question de l’inconnu. Il faut choisir, elle a choisi de garder la lumière et de renvoyer dans l’obscurité les mystères du couloir !
Plaisir de lire les coms des contributeurs de la Vie en gris…
En phase avec vos interprétations sensibles, merci. j’entends la critique argumentée de Tristan, même si c’est justement le carré de lumière à gauche qui m’a donné envie de shooter. A bientôt.
Simple et dense… évident et mystérieux à la fois. J’aime l’ambiance suggérée ici.