Pour Tristan ( dont je trouve le commentaire de ma dernière photo un peu sévère ( surtout pour les danseuses improvisées ?: N’y a-t’il qu’à Montpellier qu’on sait danser ?)) : ce qui m’intéressait c’était de montrer les danseuses et le phare.voici le lien vers les photos ( couleur) : http://issuu.com/andreroques/docs/lespace13/1
Euh, André, “improvisées” ne se voulait nullement péjoratif ! A Montpellier aussi, la danse s’improvise (quelques exemples récents sur mon site), mais il y a moins de sable. 🙂
J’aime bien la 2ème, pour la position des corps.
Peut-être n’est-elle pas improvisée ici !? Mais c’est l’impression que j’ai eu.
C’est la petite que je préfère.
La première photo est une belle évocation de la “zénitude” qu’apporte souvent la plage. L’horizontalité des corps rappelle celle de la digue et l’étendue de sable, quasi déserte (à part quelques vacanciers qui cherchent un endroit pour se poser), suggère le vide qu’on peut faire dans sa tête à ce moment. La balise-phare, très bien située grâce au cadrage, ramasse presque à elle seule toute la verticalité de la composition.
Merci de vos commentaires.
Pour Tristan : j’avais compris que les danseuses étaient improvisées. Pour la 1° photo, j’accepte la critique et comme je l’ai dit je voulais inclure le phare