Jean Fraipont sur 20 juin 2015 à 23h17 ça sent le moisi, la décrépitude et le départ précipité. A moins que quelqu’un n’y rode encore…
spirithom sur 21 juin 2015 à 8h44 Un cadre et un traitement au poil, mais, au contraire de la précédente, le sujet n’est pas reconnaissable, du moins à cette taille sur mon écran, et n’a pas sa simplicité de “force contenu”. Si “Nature morte” devient une série, je suis curieu de voir la suite…
Grains de sel sur 21 juin 2015 à 11h58 Merci pour vos retours ! @Jean : départ précipité non, l’entreprise a brûlé pendant la nuit, tout est resté comme après une fin de journée “normale”. @spirithom : je me demandais si les clefs étaient reconnaissable en petite taille, tu me donnes une réponse. J’essaierai de la présenter sur papier en grand format pour voir si cela reste aussi “compliqué” à lire. C’est bien une petite série. 🙂
Grains de sel sur 21 juin 2015 à 12h42 Le problème (enfin si on peut appeler ça comme ça) c’est “une fois qu’on le sait” 🙂 Bonne fin de week end.
Monsieur HR sur 21 juin 2015 à 14h33 Je ne pensais par à un local incendié mais à un local amianté et abandonné.
spirithom sur 22 juin 2015 à 12h10 Le “une fois qu’on le sait” est à relativiser au regard de la taille de l’écran versus taille d’un tirage. Deuxième remarque : était-il vraiment nécessaire de reconnaître les clez “facilement” pour donner de l’intérêt à cette image ? Sans doute un peu, mais… Troisième : peut-être qu’un travail localisé sur cette zone, accentuation, contraste, éclaircissement des ex zones métalliques relèverait la facilité de reconnaissance de l’objet…
adrien pairraud sur 25 juin 2015 à 20h59 j’arrive après le gros des débats essentiellement pour dire que cette photo est une belle réussite. sujet, compo et traitement impeccables. merci. pour les clés, je suis d’avis de les laisser tel quel, nous obligeant ainsi à rester sur la photo pour décrypter cet objet insolite juste sous notre nez.
ça sent le moisi, la décrépitude et le départ précipité. A moins que quelqu’un n’y rode encore…
Un cadre et un traitement au poil, mais, au contraire de la précédente, le sujet n’est pas reconnaissable, du moins à cette taille sur mon écran, et n’a pas sa simplicité de “force contenu”. Si “Nature morte” devient une série, je suis curieu de voir la suite…
Merci pour vos retours !
@Jean : départ précipité non, l’entreprise a brûlé pendant la nuit, tout est resté comme après une fin de journée “normale”.
@spirithom : je me demandais si les clefs étaient reconnaissable en petite taille, tu me donnes une réponse.
J’essaierai de la présenter sur papier en grand format pour voir si cela reste aussi “compliqué” à lire.
C’est bien une petite série. 🙂
Une fois qu’on le sait, on les voit parfaitement 😉
Le problème (enfin si on peut appeler ça comme ça) c’est “une fois qu’on le sait” 🙂
Bonne fin de week end.
Je ne pensais par à un local incendié mais à un local amianté et abandonné.
Puisqu’en destruction, un peu des trois maintenant M.HR 🙂
Le “une fois qu’on le sait” est à relativiser au regard de la taille de l’écran versus taille d’un tirage. Deuxième remarque : était-il vraiment nécessaire de reconnaître les clez “facilement” pour donner de l’intérêt à cette image ? Sans doute un peu, mais… Troisième : peut-être qu’un travail localisé sur cette zone, accentuation, contraste, éclaircissement des ex zones métalliques relèverait la facilité de reconnaissance de l’objet…
j’arrive après le gros des débats essentiellement pour dire que cette photo est une belle réussite. sujet, compo et traitement impeccables. merci.
pour les clés, je suis d’avis de les laisser tel quel, nous obligeant ainsi à rester sur la photo pour décrypter cet objet insolite juste sous notre nez.
Merci tardif Adrien 🙂