En plus du sujet photographié, tout un monde se révèle en arrière plan, et la répartition des sombres et des clairs me semble idéale, avec cette floraison plus haute que les autres qui équilibre la composition. On pourrait presque imaginer une fourmi grimpant sur le tronc.
Anonyme
sur 16 juin 2015 à 9h14
“Sur le sentier de montagne
le soleil se lève
au parfum des pruniers”
Matsuo Bashô
Délicat clair-obscur avec cet arrière plan adroitement flou et lumineux.
adrien pairraud
sur 17 juin 2015 à 10h55
merci messieurs pour ces agréables commentaires, je doutais un peu du bien fondé de l’ensemble, me voici donc conforté. décidément la photo est un passe-temps de lève tôt … les lumières du petit matin sont celles qui me vont le mieux en ce moment.
@ anonyme : je ne comprends pas bien l’usage du terme pathétique.
Eh bien, l’Anonyme que j’étais (pour avoir omis de me connecter) entendait par pathétique exactement la définiion de ce terme.
Voyons par exemple Larousse : Qui émeut fortement, dont l’intensité dramatique provoque un sentiment de tristesse grave : Appel pathétique. Œuvre pathétique.
C’était donc une manière différente d’exprimer ce que Francis Leplay avait analysé quant à la distribution des zones claires et sombres; et une autre que la vision de Matsuo Bashô, qui n’a certainement pas vu ta photo, mais qui en savait long sur les émotions provoquées par le contact avec la Nature…
😉
adrien pairraud
sur 18 juin 2015 à 9h44
@bolero : ce petit précis de vocabulaire, fort utile, m’a rasséréné sur l’impact de ce cliché. merci pour votre éloge.
En plus du sujet photographié, tout un monde se révèle en arrière plan, et la répartition des sombres et des clairs me semble idéale, avec cette floraison plus haute que les autres qui équilibre la composition. On pourrait presque imaginer une fourmi grimpant sur le tronc.
“Sur le sentier de montagne
le soleil se lève
au parfum des pruniers”
Matsuo Bashô
Une floraison pathétique…
Pas mieux que Francis, bravo pour cet équilibre et le monde improbable en arrière.
Je ne pourrais que répéter ce qui a été dit. Super.
Délicat clair-obscur avec cet arrière plan adroitement flou et lumineux.
merci messieurs pour ces agréables commentaires, je doutais un peu du bien fondé de l’ensemble, me voici donc conforté. décidément la photo est un passe-temps de lève tôt … les lumières du petit matin sont celles qui me vont le mieux en ce moment.
@ anonyme : je ne comprends pas bien l’usage du terme pathétique.
Eh bien, l’Anonyme que j’étais (pour avoir omis de me connecter) entendait par pathétique exactement la définiion de ce terme.
Voyons par exemple Larousse : Qui émeut fortement, dont l’intensité dramatique provoque un sentiment de tristesse grave : Appel pathétique. Œuvre pathétique.
C’était donc une manière différente d’exprimer ce que Francis Leplay avait analysé quant à la distribution des zones claires et sombres; et une autre que la vision de Matsuo Bashô, qui n’a certainement pas vu ta photo, mais qui en savait long sur les émotions provoquées par le contact avec la Nature…
😉
@bolero : ce petit précis de vocabulaire, fort utile, m’a rasséréné sur l’impact de ce cliché. merci pour votre éloge.
J’aime beaucoup. Sans mots.