Mowgli sur 4 juin 2015 à 19h26 J’aime bien le fort contraste du 1er plan et cette perspective guidant l’oeil jusqu’au personnage juste avant qu’il ne s’éclipse. Par contre je suis plus perplexe sur le cadrage penché et la coupure de la passerelle.
adrien pairraud sur 4 juin 2015 à 20h46 je rejoints pleinement Mowgli tant dans l’appréciation de la perspective et la lumière que dans le scepticisme concernant la composition générale : l’absence de choix pour la passerelle nuit à l’ensemble …
brigitte david sur 4 juin 2015 à 21h08 Merci à vous deux. La photo c’était effectivement la perspective , le violent contraste d’ombre et de lumière , le personnage qui va disparaître. Le cadrage a souffert effectivement de la rapidité avec laquelle j’ai appuyé sur le déclencheur avant que n’apparaissent d’autres personnes.
Mowgli sur 4 juin 2015 à 22h03 “l’absence de choix pour la passerelle”: tout à fait. C’est très précisément ce que je voulais signifier. On la voit trop ou trop peu. Je pense qu’en redressant l’image en post-prod, elle disparaitrait. Tu ferais ainsi d’une pierre 2 coups.
Loïs sur 5 juin 2015 à 7h08 Ce sont justement ces petits défauts qui dynamisent l’image. Je pensais que tu avais appuyé sur le déclencheur avant que cette personne disparaisse. Comme si le cadrage exprimait la tension d’une sorte de filature. Je lis trop de polars. 😉
andreroques sur 5 juin 2015 à 11h37 Beau jeu d’ombres et de lumières. Pour la dynamiser encore plus : la recadrer en ne gardant que le carré de la partie droite ?
spirithom sur 5 juin 2015 à 14h10 Parfait cadrage, même dans ses imperfections du penché/pas assez, de la passerelle trop ou pas assez présente. Tel quel ça fonctionne. Est-ce un 16/9 (ou pas loin!) direct ou un re-cadrage ?
hervé sur 5 juin 2015 à 14h51 Et presque une chanson de Nino ! Tu aurais pu faire le “poireau” un peu plus dans ce cadre magique. -) Ces deux angles et même ces deux U se répondent si bien en haut et en bas, on dirait que la personne quitte à regret ce décor ! Alors un grand bravo pour une belle image.
Monsieur HR sur 5 juin 2015 à 15h18 ça ne ressemble pas à la Louisiane (en tout cas à ce que j’en imagine) mais j’aime bien ces masses de pierres, d’ombres et de lumières…
Estienne sur 5 juin 2015 à 17h58 Moi, je verrai bien un panoramique sur la partie basse pour ne surtout pas perdre ce massif minéral entre ombre et lumière et cette échappatoire où s’enfuit le personnage : très belle image avec un contraste qui correspond bien au titre : on dirait le sud, on est bien à Marseille !
brigitte david sur 5 juin 2015 à 19h25 Après vos commentaires je commence à la trouver presque mieux cette photo approximative. Je retiens la suggestion d’Andréroques pour une autre photo. J’aime bien l’interprétation de Loïs. Je n’y aurais pas pensé. Mais je ne lis pas assez de polars. Je suis sûre que j’aimerais mais je ne sais pas lesquels lire. Mais je trouve que pour ça, il faut une maison dans les landes, battue par les vents, du whisky tourbé, (j’aime pas ça!)le feu de bois et ce qui va avec et une paix royale… Mais je suis sure que ça doit être très bien d’aimer les polars! Rien d’inquiétant dans la démarche du passant sans-souci…
cormac sur 5 juin 2015 à 19h52 Comme spirithom, j’y touche pas à ce cadrage imparfait, penché, peut être approximatif mais dans tout les cas vivant et beau. D’autant plus exceptionnel que les images du mucem me sortent par les yeux à 99%. Là il y a une histoire, quelque chose qui se joue dans le clair/obscur et qui me parle.
Francis Leplay sur 5 juin 2015 à 20h53 Aux confins des civilisations, l’homme finit par s’égarer et disparaître dans son ombre. Sans issue?
J’aime bien le fort contraste du 1er plan et cette perspective guidant l’oeil jusqu’au personnage juste avant qu’il ne s’éclipse. Par contre je suis plus perplexe sur le cadrage penché et la coupure de la passerelle.
je rejoints pleinement Mowgli tant dans l’appréciation de la perspective et la lumière que dans le scepticisme concernant la composition générale : l’absence de choix pour la passerelle nuit à l’ensemble …
Merci à vous deux.
La photo c’était effectivement la perspective , le violent contraste d’ombre et de lumière , le personnage qui va disparaître. Le cadrage a souffert effectivement de la rapidité avec laquelle j’ai appuyé sur le déclencheur avant que n’apparaissent d’autres personnes.
“l’absence de choix pour la passerelle”: tout à fait. C’est très précisément ce que je voulais signifier. On la voit trop ou trop peu. Je pense qu’en redressant l’image en post-prod, elle disparaitrait. Tu ferais ainsi d’une pierre 2 coups.
Ce sont justement ces petits défauts qui dynamisent l’image.
Je pensais que tu avais appuyé sur le déclencheur avant que cette personne disparaisse. Comme si le cadrage exprimait la tension d’une sorte de filature. Je lis trop de polars. 😉
Beau jeu d’ombres et de lumières.
Pour la dynamiser encore plus : la recadrer en ne gardant que le carré de la partie droite ?
Parfait cadrage, même dans ses imperfections du penché/pas assez, de la passerelle trop ou pas assez présente. Tel quel ça fonctionne. Est-ce un 16/9 (ou pas loin!) direct ou un re-cadrage ?
Et presque une chanson de Nino !
Tu aurais pu faire le “poireau” un peu plus dans ce cadre magique. -)
Ces deux angles et même ces deux U se répondent si bien en haut et en bas, on dirait que la personne quitte à regret ce décor !
Alors un grand bravo pour une belle image.
ça ne ressemble pas à la Louisiane (en tout cas à ce que j’en imagine) mais j’aime bien ces masses de pierres, d’ombres et de lumières…
Moi, je verrai bien un panoramique sur la partie basse pour ne surtout pas perdre ce massif minéral entre ombre et lumière et cette échappatoire où s’enfuit le personnage : très belle image avec un contraste qui correspond bien au titre : on dirait le sud, on est bien à Marseille !
Après vos commentaires je commence à la trouver presque mieux cette photo approximative.
Je retiens la suggestion d’Andréroques pour une autre photo.
J’aime bien l’interprétation de Loïs. Je n’y aurais pas pensé. Mais je ne lis pas assez de polars. Je suis sûre que j’aimerais mais je ne sais pas lesquels lire. Mais je trouve que pour ça, il faut une maison dans les landes, battue par les vents, du whisky tourbé, (j’aime pas ça!)le feu de bois et ce qui va avec et une paix royale… Mais je suis sure que ça doit être très bien d’aimer les polars!
Rien d’inquiétant dans la démarche du passant sans-souci…
Comme spirithom, j’y touche pas à ce cadrage imparfait, penché, peut être approximatif mais dans tout les cas vivant et beau.
D’autant plus exceptionnel que les images du mucem me sortent par les yeux à 99%.
LÃ il y a une histoire, quelque chose qui se joue dans le clair/obscur et qui me parle.
Aux confins des civilisations, l’homme finit par s’égarer et disparaître dans son ombre. Sans issue?
Dommage que ça penche …
Tais toi Marseille ! J’aime bien cette photo du MUCEM..