Mamiya 645, Ilford HP5, 80mm, F2,8




Pierre Grave

Passionné de photo depuis de très nombreuses années J’ai une prédilection pour la pureté dépouillée du noir et blanc. Il m’arrive encore d’exposer et de scanner une pellicule argentique avec beaucoup de plaisir mais je pratique désormais essentiellement le numérique avec des appareils hybrides. Mes suets de prédilection sont les paysages de mon jura d’adoption mais j’aime aussi, en ville, pratiquer la photo de rue. Les salles et terrasses, les portes et fenêtres ou les concerts de jazz font aussi partie de mes sujets favoris. Pour moi la photo est un moyen de mémoriser l’instant, d’écrire par l’image, pour tout dire, de manière immodeste et utopique, de laisser derrière moi une petite trace de ma personne.
8 Commentaires
  1. Belle lumière, beaux noirs profonds !
    La concentration est perceptible.
    Mais pourquoi ce cadrage horizontal qui coupe les mains ?

  2. Le Mamiya 645 ne permet que la cadrage horizontal en visée ventrale.
    J’ai préféré une vision rapprochée dans le miroir qu’un plan plus large qui aurait montré l’entièreté des mains

  3. Je m’incline devant cette révérence.

  4. comme Loïs, les mains coupées me dérangent beaucoup …

  5. en espérant que vous ne nous tirez pas la vôtre …

    par ailleurs, voici un joli autoportrait au traitement de toute beauté, quand aux mains je comprends votre choix mais les sont tellement essentielles pour l’exercice de notre marotte.

  6. Même avis que précédemment concernant les mains. Peut-être un cadrage carré aurait pu solutionner le problème.

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