GBertrand

Susan Sontag : "Une photographie passe pour une preuve irrécusable qu'un événement donné s'est bien produit."
8 Commentaires
  1. le 45 de votre rue a été abandonné par ses occupants, ou peut-être errent-ils encore dans le jardin …

    peut-être un petit manque de peps dans la lumière mais l’ambiance fantomatique est particulièrement réussie ! le halo autour de la tête renforçant cette impression.

  2. Au moment où j’ai pris la photo de “base”, je n’avais pas remarqué le numéro. Mais 45…1945…
    Cela donne sans doute, comme vous le faites si justement remarquer, une force ou, disons, une orientation à la photographie, que je n’avais pas forcément voulue.
    Mais c’est l’intérêt, si l’on admet trouver de l’intérêt à ce genre de “mise en scène”, c’est que l’interprétation en reste totalement …libre.

  3. Toute première impression: un clavier de piano un peu fatigué.

  4. Une apparition… Ca arrive!

  5. Un enfant derrière une clôture est souvent un spectacle poignant, et celui-ci l’est sans conteste ! Ce virage violet me chagrine,et me paraît amoindrir la théâtralité de la scène !
    J’aurais bien vu un traitement NB plus traditionnel pour cette évocation…

  6. L’enfant par sa coiffure et son vêtement évoque plutôt les années 1920.

  7. Il s’agit bien d’une enfant photographiée pendant la guerre de 14-18, Loïs. Mais les vêtements des enfants avaient-ils tellement changé dans les campagnes en 30 années où rien ne bougeait vraiment.
    Quant au virage bolerophoto, je n’en suis pas si convaincu maintenant.Il devait ajouter une touche d'”irréalité”, mais bon…

  8. A la revoyure elle est encore mieux…
    Cette barrière devant le passé. Dr. Freud aurait aimé!

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