Henri sur 8 février 2015 à 17h41 j’aime beaucoup , une belle lumière et un cadrage serré qui lui va bien. Mais il manque quand même le fameux air de banjo pour accompagner le titre .
François Cardi sur 8 février 2015 à 17h44 Un peu la même question que Philippe. On peut penser que le titre est un appel, et que le pneu est le principal obstacle. Mais il y a tellement de trous par où passer, qu’on écarte ce raisonnement.
JLB sur 8 février 2015 à 18h32 Belle lumière d’hiver. Je me suis posé la même question sur le titre. Le pneu attire le regard, peut-être en partie à cause de son rôle un peu dérisoire?
JMP sur 8 février 2015 à 19h05 Oui, sans doute en référence au film car on se sent vraiment au milieu de nulle part, et on imagine des autochtones à l’abandon, comme ce pneu et le mur délabré le suggèrent . Bon tirage, très “consistant”.
Anonyme sur 8 février 2015 à 19h55 Je pense que Brigitte parle du film réalisé par John Boorman d’après le roman homonyme de James Dickey, il y a du vrai dans sa photo.
brigitte david sur 8 février 2015 à 21h52 Merci à tous… Pas de contresens sur le lieu. Il ne s’agit pas encore de mon sweet home! Oui, il s’agit bien d’un clin d’oeil au film. J’invite ceux qui ne l’ont pas vu à le faire de toute urgence!
OlivMo sur 9 février 2015 à 10h02 J’aime cette lumière crue et le contraste encore accentué par la présence de la neige. Des histoires peuvent se raconter… Il serait temps d’ouvrir pour que les poules puissent sortir picorer un peu…
bolerophoto sur 9 février 2015 à 10h07 Et… se garder le banjo pour elles toutes seules ! 😉 Un bon duo avec le Land-art qui suit et, selon l’ordre dans lequel on les découvre, plein d’histoires aussi !
brigitte david sur 9 février 2015 à 10h43 @Olivmo et amb(je peux?) On n’est ni en Mayenne, ni en Bretagne, côté poules… La suite vous éclairera…
jb81 sur 10 février 2015 à 18h41 Je suis fan de ces tons et je pense que cette lumière met bien valeur tous les éléments qui composent cette photo.
pourquoi délivrance…?
j’aime beaucoup , une belle lumière et un cadrage serré qui lui va bien.
Mais il manque quand même le fameux air de banjo pour accompagner le titre .
Un peu la même question que Philippe. On peut penser que le titre est un appel, et que le pneu est le principal obstacle. Mais il y a tellement de trous par où passer, qu’on écarte ce raisonnement.
Belle lumière d’hiver. Je me suis posé la même question sur le titre. Le pneu attire le regard, peut-être en partie à cause de son rôle un peu dérisoire?
Oui, sans doute en référence au film car on se sent vraiment au milieu de nulle part, et on imagine des autochtones à l’abandon, comme ce pneu et le mur délabré le suggèrent . Bon tirage, très “consistant”.
Je pense que Brigitte parle du film réalisé par John Boorman d’après le roman homonyme de James Dickey, il y a du vrai dans sa photo.
oups! désolé, redondance avec le commentaire de JMP
Merci à tous… Pas de contresens sur le lieu. Il ne s’agit pas encore de mon sweet home!
Oui, il s’agit bien d’un clin d’oeil au film. J’invite ceux qui ne l’ont pas vu à le faire de toute urgence!
J’aime cette lumière crue et le contraste encore accentué par la présence de la neige. Des histoires peuvent se raconter… Il serait temps d’ouvrir pour que les poules puissent sortir picorer un peu…
Et… se garder le banjo pour elles toutes seules !
😉
Un bon duo avec le Land-art qui suit et, selon l’ordre dans lequel on les découvre, plein d’histoires aussi !
@Olivmo et amb(je peux?) On n’est ni en Mayenne, ni en Bretagne, côté poules… La suite vous éclairera…
Je suis fan de ces tons et je pense que cette lumière met bien valeur tous les éléments qui composent cette photo.