23 Commentaires
  1. Magnifique carré, avec une compo qui force à chercher qu’est ce qui se cache derrière ces tons doux à souhait!

  2. J’aime bien, et cet effet empreinte digitale…

  3. Minimaliste , mais j’aime cette simplicité qui demande du temps pour se livrer entièrement.

  4. C’est un défilé de mode ?

  5. Bonjour,

    La “fugacité de l’instant” si je puis me permettre cette expression. Dans le genre, une réussite.

    A bientôt.

  6. D’accord avec Henri ! Beaucoup de douceur … mais je m’interroge sur l’artefact “empreinte digitale”

  7. Merci à tous. A Verlaine pour le titre et au chef-op d’Emmanuel Carrère pour son film Retour à Kotelnicht. La scène se situe au moment où EC se rend compte de ce qu’il approchait réellement dans ce retour à Kotelnicht: sa propre histoire.
    L’empreinte digitale n’est autre que le passage de l’écran de mon ordi sur mon portable pourri, revu dans I-Photo…
    J’ai trouvé que ça faisait des ondes entre les ombres!…

  8. amb. Ceux que ça intéresse iront sur google… Un grand merci à Jean-Marie Lequertier si c’est lui. Les plans qui suivent “l’aveu” d’Emmanuel Carrère, immobile derrière la fenêtre avec ce plan sur la ville enneigée… m’ont effectivement réveillée au point de sauter sur mon mobile pourave et de faire quelques photos de cette scène d’anthologie… Il me semblait dans le film que l’équipe était très réduite. ET si je ne suis pas allée outre c’est que je pensais suffisant de faire la promo d’un film que j’ai beaucoup aimé et revu récemment. Mais je suis sensible à votre réactivité à la question des droits d’auteur. Une question à laquelle je n’ai pas échappé!

  9. Un moue cette image pour le coup!

  10. Atelier 65… C’est quoi un moue?

  11. Chercher ce qui se cacher derrière, oui, sûrement, mais aussi chercher ce qui cache ce qui se cache.

  12. Avant de voir la signature, j’ai su que c’était une image de Brigitte David !
    Ce qui montre la personnalité d’un photographe. Bravo.

  13. Merci JMP mais dans cette photo je ne m’attribue que d’avoir remarqué la beauté de ce plan et son adéquation avec le sujet du film. Et les défauts techniques qui me signent – moi analphabète technique confirmée – avec le doigt, comme le remarque amb!

  14. @jmp. J’avais laissé passer ça… “la personnalité d’un photographe”… Le féminin existe , même si peu de femmes interviennent sur la Vie en gris. Je me demande pourquoi d’ailleurs!

  15. C’est vrai que la faible présence de photographes féminines sur le site est intrigante.

  16. de femmes photographes , M.HR!…
    Féminines c’est selon…

  17. @ brigitte: une réponse à ta question. Dans son commentaire du 15 décembre 2013 | 18:04, Irène de Groot explique pourquoi elle interviendra plus rarement sur Lveg.

  18. @Loïs. La présence d’Irène sur ce blog manque cruellement. Mais aussi celles de Josée dont on aimerait quelques réapparitions, de Flore qui poursuit son chemin ailleurs, de Louise Marquise qui faisait baisser la moyenne d’âge…et tout autant de Cormac, Solong etc… qui disparaissent …
    Je ne cite que ceux-là parce qu’ils véhiculent chacun à leur manière des mondes… Ils ont un arrière-pays, un inconscient fertile et tranchent avec les photos sages- pour ne pas dire autre chose – qui paraissent ces temps.
    Pour ma part, avec mes photos approximatives, je sens poindre un sentiment de culpabilité à avoir éloigné avec ma production médiocre des photographes qui peuvent aspirer à des confrontations plus élevées…Mais je ne cherche pas à être rassurée! Je vis très bien avec mes photos dégueulasses. Je sais seulement qu’elles le sont!

  19. “Le niveau baisse”, “c’était mieux avant” … quand on s’exprime comme ça, on est parti sur une mauvaise pente.
    Je regrette de ne plus voir certaines photos mais je ne regrette pas le ton aristocratique et condescendant de certains commentaires.
    Pour ma part, je trouve que LVEG m’a permis de faire de meilleures photos de par certains encouragements, certaines critiques et surtout certains coups de main. Merci à eux.
    Sur ce site, en effet, le rôle des meilleurs est peut être moins d’étaler leurs égos que de faire progresser les moins bons.

  20. M.HR.
    Pour les dilettantes de mon genre, dotée d’une paresse naturelle du regard, les commentaires un peu radicaux sont plus incitatifs que les louanges. Je préférais les sentences comminatoires d’Irène aux “Mais c’est bien ça!” (cf Nathalie Sarraute) qui donnent parfois des envies de meurtre. Moi aussi j’apprécie les échanges qui permettent sinon de progresser au moins d’inciter à l’autocritique…
    Là je ne parlais pas des commentaires faits par ces glorieux prédécesseurs mais de leur production dont j’appréciais l’univers poétique…

  21. M.HR. A part ça, j’ai toujours trouvé une forme d’humour dans les propos défintifs. J’ai sans doute été à rude école…

  22. Ce carré est… habité. Très belle image.

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