Merci pour vos commentaires.
Loïs, oui, en effet “évider” ce satané grillage ne fut pas la partie la plus facile de la composition !
Velasquez, Morris, n’a pas eu ce problème lui. Comme quoi la peinture, même à l’huile, c’est bien plus facile.
Monsieur HR, il faudra m’expliquer le lien entre vos créatures de la forêt et cette image. Excepté son titre, bien sûr…
Bruissant oui, Alain-Michel.
Autour du Golfe du Morbihan, le vent plie volontiers les arbres et fourrés où ces Meninas se sont, semble-t-il, égarées.
Monsieur HR
sur 18 mai 2014 à 11h59
Le lien me semble être celui de jeunes personnages en provenance d’oeuvres picturales (Vinci à Amboise, Velasquez dans le Morbihan)immergés dans un environnement végétal très éloigné de celui qu’avait prévu pour eux leur créateur.
D’où l’échange de regards inquiets entre les demoiselles ?
Et la question se pose: l’ankou est-il sur le coup ?
Peut-être en grossissant…
brigitte david
sur 25 mai 2014 à 7h48
Curieusement je vois dans les feuillages comme une sorte de toile d’araignée , dans laquelle les Ménines se sont prises. Entre cette toile et le grillage les ménines – qui sorties de leur contexte prennent des airs de Lolita – sont bien gardées!
🙂
Elles (https://www.lavieengris.com/?p=56987) ont bien grandi et semblent s’émanciper.
nicely done…wonder if Velazquez would like it…I think yes…
Que dire…C’est étonnant et bien fait, même si un certain “rendu” de l’image n’amène pas ma totale adhésion…
Travailler la résille ( euh, le grillage ) a du demander beaucoup de dextérité. Le sous-bois sombre évoque la pièce de la composition d’origine.
Je trouve le résultat séduisant…il y a un certain savoir faire…
Merci pour vos commentaires.
Loïs, oui, en effet “évider” ce satané grillage ne fut pas la partie la plus facile de la composition !
Velasquez, Morris, n’a pas eu ce problème lui. Comme quoi la peinture, même à l’huile, c’est bien plus facile.
Monsieur HR, il faudra m’expliquer le lien entre vos créatures de la forêt et cette image. Excepté son titre, bien sûr…
Un surréalisme feutré et… bruissant !
Très belle réalisation…
Bruissant oui, Alain-Michel.
Autour du Golfe du Morbihan, le vent plie volontiers les arbres et fourrés où ces Meninas se sont, semble-t-il, égarées.
Le lien me semble être celui de jeunes personnages en provenance d’oeuvres picturales (Vinci à Amboise, Velasquez dans le Morbihan)immergés dans un environnement végétal très éloigné de celui qu’avait prévu pour eux leur créateur.
Merci Monsieur HR pour la précision.
En effet, l’air de famille existe bien.
Même si je reconnais que je force un peu pour ce qui est de la filiation ….
Au fait, la mariée s’est fait la belle à travers le grillage ?
😉
D’où l’échange de regards inquiets entre les demoiselles ?
Et la question se pose: l’ankou est-il sur le coup ?
Peut-être en grossissant…
Curieusement je vois dans les feuillages comme une sorte de toile d’araignée , dans laquelle les Ménines se sont prises. Entre cette toile et le grillage les ménines – qui sorties de leur contexte prennent des airs de Lolita – sont bien gardées!
🙂