J’aime assez cette image d’autant plus quand je me souviens des misères de sa prise.

Alex était en train de jouer sur l’escalier… Il fallait faire vite. Prendre la mesure de la Lumière avec la cellule, se rendre compte que l’Exa ne suivrait pas avec sa vitesse d’ouverture de max 1/175… Reporter des paramètres extrêmes donc en espérant que la TriX 400 tiendrait le coup… Cadrer la scène ensuite avec un viseur capuchon qui inverse l’image tout en prenant une orientation verticale… Et puis le temps de n’en prendre qu’une car tout de même…

– “Alex, tu ne peux pas jouer sur cet escalier ainsi !!!”

Du coup, le négatif est fort exposé et mal cadré à la base. Il m’aura fallu tailler dedans à la hache. Je ne suis pas certain que cette image pourra être mise sur papier… Mais bon… Pour le plaisir des yeux… Elle est au moins ici !

(Escalier au Musée de la Photographie de Charleroi)

 

L’escalier est une construction architecturale constituée d’une suite régulière de marches, les degrés, permettant d’accéder à un étage, de passer d’un niveau à un autre en montant et descendant. Le terme a pour origine étymologique « scala », l’« échelle » en latin. Le métier correspondant est celui d’escaliéteur. Par extension, l’escalier a donné son nom à un escalier, une voie piétonne faite en escalier.

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Leodium

Aspirant en photo réussito-ratée - Retour au grain d'argent...
6 Commentaires
  1. Et en plus il y a un cerf-volant !
    😉

  2. Tout ça pour une image !!!

    Mais qu’elle image, bravo.

  3. Dans ces conditions, in véritable exploit…pardon: une performance!

  4. Je suppose et j’espère que ça prend moins de temps pour le faire que pour l’écrire. Mais avec la protection du cerf-volant tout est possible.

  5. Votre titre me renvoie à un livre pour enfants : “Mais ne te mouille donc pas les pieds Marcelle”. Un “couple parental ” est au bord de la mer avec sa rejetonne. Plage de galets et falaises genre Etretat, Les parents allongés dans leur transat, qui tournent le dos à la mer, lisent. Marcelle échafaude d’improbables aventures alors que la seule phrase qu’éructent ses géniteurs est: “Mais ne te mouille donc pas les pieds Marcelle!”
    L’auteur- un auteur rare – ancien élève de SummerhIll est John Burningham. Il était édité chez Flammarion qui ne le réédite pas. J’ai quelques lignes sur lui pour ceux que ça intéresse!

  6. Bien vu 😉

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