Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
8 Commentaires
brigitte david
sur 13 mars 2014 à 9h46
Un effet court-bouillon casse l’intention mortifère. La suggestion du printemps pourrait sortir Poppée de son bain de lait d’ânesse- je pensais cette pratique disparue avec le dernier peplum…
L’image n’est pas assez large et le bouquet tronqué me gène. Pourtant cette lumière est magnifique qui met en valeur le parquet et le bouquet. D’autre part, mais ce ne serait pas la même photo, une photo qui utiliserait le même sujet mais en usant pour cadre de la lumière de la baignoire avec l’angle très souligné comme ici … je sais, j’ai tout transformé mais j’étais en train de déchiffrer ce que j’aurai (peut-être) fait avec un aussi beau sujet dans un aussi beau contexte … 😉
François Cardi
sur 13 mars 2014 à 11h26
L’image est touchante, mais il me semble que la scène, les fleurs, la chevelure renvoient à une autre époque tandis que la baignoire et la faïence, blanches, parfaites, nous ramènent à un certain réalisme moderne.
C’est drôle, (autant je ne suis pas complètement convaincue par la conversion N&B, je l’admets) autant l’emplacement des fleurs, je l’ai cherché pendant 10 minutes, et ce vase à cet endroit là précis, ce n’est pas négociable 😉
“autant je ne suis pas complètement convaincue par la conversion N&B, je l’admets”… Pourquoi ne pas se dire les choses simplement : le vase tronqué marche encore moins bien dans la version NB que la version NB par rapport à celle en couleur !
😉
Un effet court-bouillon casse l’intention mortifère. La suggestion du printemps pourrait sortir Poppée de son bain de lait d’ânesse- je pensais cette pratique disparue avec le dernier peplum…
L’image n’est pas assez large et le bouquet tronqué me gène. Pourtant cette lumière est magnifique qui met en valeur le parquet et le bouquet. D’autre part, mais ce ne serait pas la même photo, une photo qui utiliserait le même sujet mais en usant pour cadre de la lumière de la baignoire avec l’angle très souligné comme ici … je sais, j’ai tout transformé mais j’étais en train de déchiffrer ce que j’aurai (peut-être) fait avec un aussi beau sujet dans un aussi beau contexte … 😉
L’image est touchante, mais il me semble que la scène, les fleurs, la chevelure renvoient à une autre époque tandis que la baignoire et la faïence, blanches, parfaites, nous ramènent à un certain réalisme moderne.
Les larmes n’ont jamais vraiment le temps de sécher ?
😉
Idem tous pour le vase tronqué…
C’est drôle, (autant je ne suis pas complètement convaincue par la conversion N&B, je l’admets) autant l’emplacement des fleurs, je l’ai cherché pendant 10 minutes, et ce vase à cet endroit là précis, ce n’est pas négociable 😉
La série en couleurs sur mon blog (au survol de la souris, une autre image s’affiche)
http://clignotants.cowblog.fr
Une impression de “nature morte” que cette magnifique lumière va réveiller…certes des imperfections mais de bonnes idées!
“autant je ne suis pas complètement convaincue par la conversion N&B, je l’admets”… Pourquoi ne pas se dire les choses simplement : le vase tronqué marche encore moins bien dans la version NB que la version NB par rapport à celle en couleur !
😉
Tttttt !