dutempsperdu sur 18 décembre 2013 à 11h02 Déjà envoyer le public sur fessebouc faut être sacrément gonflé. Ce n’est surement pas sur ce site que l’on peut assister à un débat impartial!
Loïs sur 18 décembre 2013 à 12h57 @ Philippe (photofloue): pour publier comme Anonyme il suffit d’être distrait en oubliant de remplir le champ ‘nom’. Pour paramétrer les discussions, aurais tu décoché l’option qui oblige les commentateurs à s’identifier? A +.
Estienne sur 18 décembre 2013 à 16h48 Faut-il que l’homme s’ennuie … Le cadrage chaloupé ne me dérange pas, par contre le tirage manque de densité, il est un peu trop clair à mon gout.
Monsieur HR sur 18 décembre 2013 à 18h29 Pour la perception du message, aucun problème: la technique assure. Pour son analyse et son interprétation, cela va prendre du temps et nécessiter un gros … travail. Pour l’appréciation de la photo je suis plutôt d’accord avec Estienne.
nathalie f sur 18 décembre 2013 à 23h21 J’aime beaucoup le message, mis en relation justement avec cet espace de travail désaffecté. Alors, que nous reste-t-il ? Peut-être un regard vers l’extérieur, mais qui là , n’est pas mis en valeur par la photo. Le roulis entre le dedans (travail) et le dehors (une autre vie ?) : j’aime beaucoup. Il manque juste un meilleur traitement de l’extérieur pour nous donner envie de sortir. Voilà ce que je perçois de ce message. Merci à vous pour cette question.
GenSuperNes sur 19 décembre 2013 à 8h05 waouu… je n’avais perçu que le message, mais dit comme ça, cela me plaît bien 🙂 😉
brigitte david sur 19 décembre 2013 à 8h50 Comme je n’ai pas l’esprit mal tourné je ne pense pas “Arbeit macht frei”.
Monsieur HR sur 19 décembre 2013 à 12h33 L’arrivée dans la vie commence par le travail … de la parturiente (c’est comme ça qu’on dit ?). Donc le travail est consubstantiel à la vie. Le problème apparaît quand l’économie en fait une valeur d’échange et nie sa valeur d’usage et sa fonction anthropologique. Le travail est donc à libérer ! En prend on le chemin ?
dutempsperdu sur 19 décembre 2013 à 16h57 Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front…Je ne pense pas que le travail ait fait l’homme libre!
Fredetdo sur 19 décembre 2013 à 18h30 J’aurais bien aimé cette photo si, pour moi elle ne présentait pas 2 défauts principaux: D’abord je n’apprécie pas le cadrage en travers, je trouve qu’il n’apporte rien, et puis le traitement de la photo est beaucoup trop fade pour mon goût. Autrement, le lieu se prête surement à une belle série d’images.
Déjà envoyer le public sur fessebouc faut être sacrément gonflé. Ce n’est surement pas sur ce site que l’on peut assister à un débat impartial!
??? Je l’ai prise hier…
@ Philippe (photofloue): pour publier comme Anonyme il suffit d’être distrait en oubliant de remplir le champ ‘nom’.
Pour paramétrer les discussions, aurais tu décoché l’option qui oblige les commentateurs à s’identifier?
A +.
Faut-il que l’homme s’ennuie … Le cadrage chaloupé ne me dérange pas, par contre le tirage manque de densité, il est un peu trop clair à mon gout.
Pour la perception du message, aucun problème: la technique assure. Pour son analyse et son interprétation, cela va prendre du temps et nécessiter un gros … travail.
Pour l’appréciation de la photo je suis plutôt d’accord avec Estienne.
Lol oui c’est vrai. Un manque d’inspiration 😉
Vous avez 4h! 😉
OK patron 😉
J’aime beaucoup le message, mis en relation justement avec cet espace de travail désaffecté.
Alors, que nous reste-t-il ? Peut-être un regard vers l’extérieur, mais qui là , n’est pas mis en valeur par la photo.
Le roulis entre le dedans (travail) et le dehors (une autre vie ?) : j’aime beaucoup.
Il manque juste un meilleur traitement de l’extérieur pour nous donner envie de sortir.
Voilà ce que je perçois de ce message. Merci à vous pour cette question.
waouu… je n’avais perçu que le message, mais dit comme ça, cela me plaît bien 🙂 😉
Comme je n’ai pas l’esprit mal tourné je ne pense pas “Arbeit macht frei”.
L’arrivée dans la vie commence par le travail … de la parturiente (c’est comme ça qu’on dit ?). Donc le travail est consubstantiel à la vie. Le problème apparaît quand l’économie en fait une valeur d’échange et nie sa valeur d’usage et sa fonction anthropologique. Le travail est donc à libérer ! En prend on le chemin ?
Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front…Je ne pense pas que le travail ait fait l’homme libre!
J’aurais bien aimé cette photo si, pour moi elle ne présentait pas 2 défauts principaux: D’abord je n’apprécie pas le cadrage en travers, je trouve qu’il n’apporte rien, et puis le traitement de la photo est beaucoup trop fade pour mon goût. Autrement, le lieu se prête surement à une belle série d’images.