Paris, novembre 2013.




11 Commentaires
  1. Un grand classique très bien fait ! Belle gamme de gris et le personnage assis pour améliorer le sujet. Et puis un savant décentrage pour être dans le titre … bravo !

  2. OK avec le point de vue soutenu par Etienne.

  3. Merci à vous Estienne – et Monsiseur HR ! @GBertrand : votre interprétation du colimaçon est proprement vertigineuse ; je n’ai pas eu l’occasion d’admirer la spirale du Vatican, vous m’en donnez l’envie !

  4. Comme je ne suis pas très matheux, j’ai un peu de mal à saisir le truc !
    Il s’agit d’une théorie sur les tiers ?

  5. La suite de Fibonacci … une illumination mathématique comme dirait un de mes fils …

  6. La suite, d’accord mais, rapportée à la photographie, je ne comprends pas bien le lien visuel : l’idée de l’infini ?

  7. La suite de Fibonacci est constitué de nombres tels que la somme de deux nombres consécutifs donne le nombre suivant : 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13 … et le rapport de deux nombres consécutifs (le plus grand divisé par le plus petit) tend vers le nombre d’or (1,61803…). Donc on associe Fibonacci au nombre d’or qui est la fondement de la grande règle classique de la composition en peinture et aujourd’hui en photographie.

  8. J’oubliais : la représentation de cette suite est l’escargot classique qui s’enroule dans le rectangle mettant en évidence la règle des tiers dans la composition.

  9. Comme Estienne…

  10. Ah, ce Nombre d’Or ! L’equation du vivant ?

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